Rechercher dans ce blog

dimanche 14 janvier 2018

Massacre en Casamance: 16 personnes arretes

Au moins seize personnes, dont une femme, ont été arrêtées, dimanche 14 janvier, par la gendarmerie dans l’enquête sur le massacre de treize personnes en Casamance, région forestière du sud du Sénégal, a appris l’Agence France-Presse (AFP) auprès de sources concordantes.


« Une paix sans vainqueur ni vaincu »
Il s’agit des premières arrestations annoncées depuis le massacre, le 6 janvier, de treize jeunes hommes venus chercher du bois dans la forêt protégée de Bayotte, proche de Ziguinchor, principale ville de cette région agricole et touristique bordée au nord par la Gambie et au sud par la Guinée-Bissau.
Parmi les personnes arrêtées, dans le village de Toubacouta, au sud de Ziguinchor, figurent quatre jeunes membres d’un comité villageois de surveillance des forêts, condamnés puis libérés en octobre à la suite d’un conflit avec des exploitants forestiers, a rapporté l’Agence de presse sénégalaise (APS, publique), citant un témoin.
Un jeune habitant a, par ailleurs, indiqué par téléphone à l’AFP avoir été arrêté avec 15 autres personnes par des militaires entrés à Toubacouta dans la matinée. « Ils ont fouillé le village », a-t-il ajouté sous le couvert de l’anonymat. Selon le président de l’Association des jeunes de Toubacouta, Abdou Sané, qui a dit avoir fait le tour des familles, « 19 jeunes et une femme ont été arrêtés ce matin [dimanche] par des gendarmes »« Ils sont détenus à la gendarmerie de Ziguinchor ».
Selon des experts et le Mouvement des forces démocratiques de Casamance (MFDC), le massacre pourrait être lié à l’exploitation illicite du bois précieux en Casamance, région en proie à une rébellion indépendantiste depuis 1982, mais qui connaît une accalmie ces dernières années.
Le ministre de la justice, Ismaïla Madior Fall, a annoncé le 9 janvier un renforcement de la répression du trafic de bois en Casamance. Quelques jours avant le massacre, le climat semblait particulièrement propice à une relance du processus de paix.


Source: http://www.lemonde.fr/afrique/

Le Lait Contamine Innonde le Marche Senegalais

La Direction du commerce intérieur, par le biais de sa Division en charge de la consommation et de la sécurité des consommateurs, a saisi des produits laitiers du groupe français Lactalis, estimés à 52 millions de francs Cfa.
Une mesure prise depuis l’éclatement de l’affaire du lait contaminé du groupe, selon le chef de cette division, Issa Wade, joint au téléphone par ‘’EnQuête’’.
L’affaire Lactalis fait fureur en France et provoque l’indignation générale. Au Sénégal, les autorités annoncent avoir pris les mesures idoines pour se prémunir contre les méfaits du lait infantile commercialisé par le géant industriel français. Le produit s’est révélé être vecteur de la salmonellose contractée par certains bébés qui l’ont consommé. Depuis décembre dernier, le lait est retiré des rayons des commerces dans plusieurs pays.
Au Sénégal, conformément à sa mission régalienne de protection des consommateurs et de sécurité sanitaire des enfants, la Direction du commerce intérieur, à travers la division en charge de cette question, a pris des décisions majeures. Il s’agit, en premier lieu, selon le responsable de ce service, Issa Wade, contacté par ‘’EnQuête’’, de rappeler tous les produits Lactalis incriminés destinés à l’alimentation humaine et surtout les produits laitiers infantiles et céréaliers. ‘’Dans ce sens, on a fait des retraits au niveau des quatre principaux importateurs que sont Cophase, Laborex, Sodipharm et Duopharm. Ces derniers détiennent en réalité 95 % du marché de lait infantile. Au total, on a fait un retrait portant sur une quantité de 1 648 cartons et 9 848 boites d’une valeur de 52 millions de francs Cfa’’, annonce M. Wade.
Ensuite, des échantillons issus de ces lots ont été transmis aux laboratoires de sécurité sanitaire des aliments. Il s’agit de l’Institut Pasteur, du laboratoire de l’Ecole polytechnique de l’Ucad, celui de l’Institut de technologie alimentaire (Ita) et celui d’Analyse et de Contrôle de la Direction du commerce intérieur. ‘’Ils ont été désignés pour analyser l’intégralité des prélèvements. Présentement, les analyses sont en cours. Mais on a pris des mesures conservatoires. Pour le moment, il y a une interdiction de vente totale dans tous les coins de commercialisation de produits Lactalis incriminés’’, précise le chef de division. En effet, cette entité travaille en synergie avec d’autres départements sectoriels du ministère de la Santé et le Réseau d’information sanitaire de la Fao.
Pas de produits Lactalis en vente légale sur le marché sénégalais
A l’heure actuelle, le chef de la Division de la consommation affirme qu’il ‘’n’y a pas de produits Lactalis en vente légale’’ sur le marché sénégalais. Car la douane aussi joue le jeu. ‘’C’est nous qui faisons les autorisations de mise à la consommation. C’est-à-dire des déclarations d’importation de produits alimentaires. Sans ce document, un produit alimentaire ne peut être dédouané. La Douane est tenue par nos propres décisions’’, renseigne-t-il.
Les distributeurs pharmaceutiques et parapharmaceutiques ont aussi eu à faire des lettres de retrait pour les pharmacies. ‘’La sanction, pour le moment, c’est l’interdiction de vente. Car les importateurs n’étaient pas au courant du problème. Ils ont, par-devers eux, des produits incriminés. Donc, on ne peut pas leur imposer une amende. Ce qu’on peut faire, c’est d’abord de saisir le produit et d’en interdire la vente’’, poursuit M. Wade. D’après lui, les produits saisis seront détruits. Et les vendeurs qui respectent la décision publique ne sont pas concernés par cette sanction. ‘’Il y aura un contrôle à postériori, d’ici une à deux semaines. Si on se rend compte qu’ils continuent de les commercialiser, les sanctions peuvent tomber. Il faut les prendre à la mesure de l’infraction’’, a-t-il fait savoir.
37 enfants ont été contaminés en France
Le vice-président de l’Association des consommateurs (Ascosen) Momath Cissé, salue les saisies effectuées et va au-delà. Il se dit préoccupé par les mesures répressives prises par l’Etat dans les cas d’espèce. Le défenseur des consommateurs est d’avis qu’elles ne sont pas ‘’assez sévères pour être dissuasives’’. ‘‘Il y a certes eu retrait de produits, il y aura une amende, forcément, mais est-ce qu’elle est significative ? C’est pourquoi nous nous sommes réunis à Saly, il y a deux mois, pour revoir cette amende à la hausse. C’est ce que nous demandons’’, confie-t-il.
Il faut noter qu’en France, 37 enfants ont été contaminés par ce lait. Toutefois, au Sénégal, aucun cas n’a été, pour le moment, signalé.


Avec walf-groupe.com

vendredi 12 janvier 2018

Scandaleux: Les Francs-macons s'affichent au grand jour

Après Douala (2016) et Antananarivo (2017), Dakar accueillera à son tour, les 2 et 3 février 2018, les Rencontres humanistes et fraternelles…
 Le secte quijusqu'a ici etait connu pour son discretion commence a s'afficher au grand public sans crainte de represailes. Les Franc-macons en placant leur pions a la tete des pays Africains a facilite sa propagation ainsi que son influence dans toute la sphere politice ainsi que religieuse.
Bien que des voix se levent a travers les reseaux socieux exprimant leur choc ainsi que leur indignation du fait que les disciples de Satan doivent se reunir au pays de la Teranga. Le constat est que les appels n'ont jusqu la pas atteint une audience considerable du fait de l'ignorance de la majeure partie de la population senegalaise quant a la question de cette secte maconnique.


@bordiasse

mardi 12 décembre 2017

Le Sénégal perd son commerce !






Il est vrai que la croissance économique d'un pays dépend en grande parti de son PIB ,de ce fait un pays comme le Sénégal est par-contre dans une situation un peu bissard voir même dangereuse. Parceque tout simplement La part la plus grande de son PIB est produit par des société étrangère mais aussi sur le plan commercial les richesse sont rapatrié a tour de role tantôt chez le boutiquier traditionnel généralement occupé par nos voisins de la guinée .tantôt les grandes surfaces avec bien-sure CITY DIA, AUCHAN ,CASINO j'en passe toute française ,aussi a sandaga ou nos cousins Libanais contrôle le commerce , nos frère maliens gère les gargottes , tangana compte tenu de tout sa le sénégalais devient dés lors un consommateurs voir méme un trés grand consommateur .Dans ce cas toutes les richesses généré par le commerce sont  rapatrié et L'ETAT se contente de sa part d'impot non moins importante si l'ont sait que SATRELEC VITALAIS  est une entreprise étrangére paye moins d’impôts que DOLIMA pourtant entreprise locale .Pour etre bref Le consommer local ne trouve plus sa raison d'etre . et si letat continu d'encourager AUCHAN a etre beaucoup plus présente sur le marché nos pauvres frère de la guinée risquerai de fermé boutique face a cette concurrence déloyale . bonjour l'ouverture économique , le libéralisme parfait n'est ce pas!