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jeudi 20 octobre 2016

Mort il y a cinq ans, Kadhafi hante encore la politique française


Cinq ans après le décès du chef d'Etat, la Libye est en proie au chaos, le poids de l'intervention de l'OTAN pèse sur la politique française et Nicolas Sarkozy est toujours embarrassé par les accusations de financement libyen de sa campagne de 2007.
Le 20 octobre 2011, sept mois après le déclenchement de l'opération militaire de l'OTAN en Libye en soutien aux insurgés, Mouammar Kadhafi trouve la mort.
Ce jour-là, alors qu'il quittait la ville de la Syrte, ultime bastion des forces loyalistes, le convoi du chef d'Etat est contraint de modifier son itinéraire afin d'éviter des tirs d'avions de l'OTAN. Le véhicule du dirigeant libyen tombe alors dans une embuscade des rebelles, qui capturent ce dernier vivant. Le lendemain, toutefois, son décès est annoncé par un haut responsable militaire du Conseil national de transition (le CNT, coalition rebelle).
Dans un rapport publié en 2012, se basant sur des vidéos témoignant de l'évènement, l'ONG Human Right Watch est revenu sur les conditions de la mort du chef de la «Grande Jamahiriya arabe libyenne populaire et socialiste», à la suite du guet-apens : «Les vidéos montrent que Mouammar Kadhafi a été capturé vivant mais qu’il saignait profusément d’une blessure à la tête qui aurait été provoquée par les éclats d’une grenade lancée par l’un de ses propres gardes et aurait explosé au beau milieu d’eux.»
Attention ces images peuvent choquer


En France, la mort de Mouammar Kadhafi pèse également toujours sur la vie politique : d'une part, les conséquences désastreuses de l'intervention de l'OTAN, conduite notamment par Paris, sont régulièrement rappelées aux candidats de la primaire à la droite Nicolas Sarkozy (qui était alors chef d'Etat) et Alain Juppé (qui était son ministre des Affaires étrangères).
D'autre part, l'ex-président de la République continue de faire l'objet de soupçons concernant le financement par l'ancien dirigeant libyen de sa campagne électorale de 2007. Pour certains de ses détracteurs, sa volonté de renverser Mouammar Kadhafi aurait notamment eu pour finalité de faire taire ce dernier, qui avait menacé, avant sa mort, de révéler des preuves d'un tel soutien financier.

mercredi 19 octobre 2016

Hommage A Mouammar Khadafi Guide Spirituel Lybienne : kHADAFI STILL ALIVE


Résultats de recherche d'images pour « mouammar kadhafi »
En ce jour ils avait tue un homme
En ce jour un hero a été assassine
Ils ont complote et anéantis son pouvoir
Ils ont complotes et ruiner le pays
Se couvert de la démocratie ils nous mener le pays au chaos

Ta mort a Laisse le pays sans guide
Ta mort a laisse ta population orpheline
Toi qui a su jouer le role d'un guide et leader
Avec toi ta population était a l'abris du besoin

De fils de prince ils vivent desormais dans l'impasse
Ta mort a mener le pays dans des guerres tribales
Des conflits intestines mines tout ton pays
Et c'est sur que la paix en libye n'est pas pour demain

lundi 17 octobre 2016

Le président serbe aux Occidentaux : «Êtes-vous sûrs d'être des démocraties comme vous le pensez ?»

Tomislav Nikolic a interpellé l'Union européenne, critiquant son attitude vis-à-vis de la Russie. Il en a profité pour réaffirmer l'indépendance de son pays, ainsi que les «liens fraternels» qui unissent Moscou et Belgrade.
Dans un entretien donné à l'agence russe TASS, le 13 octobre, le président serbe Tomislav Nikolic s'est exprimé au sujet des sanctions imposées à la Russie par les pays Occidentaux. A cette occasion, il s'est adressé aux «Etats qui disent du mal de la Russie mais échouent à comprendre la réalité».
Il a notamment déclaré : «De nombreux pays, dont beaucoup sont persuadés d'être des démocraties, devraient prendre un moment pour s'interroger : correspondent-ils à l'image qu'ils se font de la démocratie, ou suivent-ils en permanence les ordres d'un seul leader ?»
Ajoutant que la Serbie avait démontré, au fil des années, qu'elle était «une véritable amie» de la Russie, il s'est félicité que son pays n'ait pas marché dans les pas des autres nations européennes. Selon lui, cela aurait «ruiné tout ce qui a été accompli au cours des ans et des siècles, au simple prétexte que quelqu'un nous l'aurait ordonné.»
Alors que le volume des échanges entre l'Union européenne et la Russie a presque été divisé par deux depuis trois ans en raison notamment des sanctions économiques décrétées contre la Russie, Tomislav Nikolic a annoncé son intention de  renforcer les partenariats d'investissement entre Belgrade et Moscou, unis par des «liens fraternels.»


Source: rt.com