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vendredi 12 janvier 2018

Scandaleux: Les Francs-macons s'affichent au grand jour

Après Douala (2016) et Antananarivo (2017), Dakar accueillera à son tour, les 2 et 3 février 2018, les Rencontres humanistes et fraternelles…
 Le secte quijusqu'a ici etait connu pour son discretion commence a s'afficher au grand public sans crainte de represailes. Les Franc-macons en placant leur pions a la tete des pays Africains a facilite sa propagation ainsi que son influence dans toute la sphere politice ainsi que religieuse.
Bien que des voix se levent a travers les reseaux socieux exprimant leur choc ainsi que leur indignation du fait que les disciples de Satan doivent se reunir au pays de la Teranga. Le constat est que les appels n'ont jusqu la pas atteint une audience considerable du fait de l'ignorance de la majeure partie de la population senegalaise quant a la question de cette secte maconnique.


@bordiasse

jeudi 22 juin 2017

Presse sénégalaise :En fin le code !

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Après l’échec de la mise en oeuvre du code de la presse en 2009 par le régime de abdoulaye wade, il a été finalement  adopté mardi derniers par les parlementaires de la 12 eme législature à l'assemblé national .


c'est un ouf de soulagement pour les acteurs de la presse de voir en fin le code adopté .Aprés des négociation de la CAP , de la CEDEPS avec le gouvernement du sénégal , les acteurs ont fini par obtenir gain de cause avec un code digne de son nom .La séance a été longue , les députés ont votés l'adoption du code à l'unanimité mais ils n'ont parailleurs pas manqués de souligner quelques pratiques journalistiques qu'ils  demandent  a étre revus  et ils demandent  aussi  le respect du "secret défense ". cependant mr yakham mbaye reconnait que la monture envoyée en commission technique , il été dit que pour étre journaliste , à défaut de suivre une formation dans une école spécialisée , il fallait avoir une licence dans une  toute autre branche en sus de 4 ans de pratique pour avoir la carte national de presse . une disposition qui n'a pas été du gout des journaliste , elle a été échangée grâce à l'amendement de seynabou wade .Ainsi au lieu de 4 ans le nombre d'année de pratique passe a 2 ans . le ministre de la communication mr mbagnick ndiaye et le sécretaire détat à la communication yakham mbaye ont rappelé certains nombres de mésure prise en compte par le code à l'image de la révue de presse.désormais quiconque n'ayant pas une carte de presse n'est pas ténue de faire la révue de presse .Laquelle sera délivrée par une commission réunissant les membre des diverse corporation .A cela s'ajoute le role d'évaluer ceux qui n'ont pas suivi une formation en journalisme et qui veulent étre réconnus comme professionnels des réquérants , à yakham mbaye de dire "Une réputation déjà faite ou   le nombre  d'année passées à exercer le métier de journaliste ne garantit pas ,; in facto , l'obtention de la carte ,célèbre ou pas tout le monde y passe il n'ya pas d'excéption." .De nombreuse mesure  également ont été prise en compte , le métier du journalisme peut enfin souffler une nouvelle ère

jeudi 8 juin 2017

crise dans la région du golf :Le sénégal rappelle son ambassadeur au Qatar

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"Le Gouvernement du Sénégal suit, avec une vive préoccupation, la situation en cours dans la région du Golfe. Le Sénégal exprime sa solidarité agissante à l’Arabie Saoudite, aux Emirats Arabes Unis, au Bahreïn et à  l’Egypte. Le Sénégal décide, à compter de ce jour mercredi 07 juin 2017, de rappeler, en consultation son Ambassadeur au Qatar", a déclaré le ministère des Affaires Etrangères et des Sénégalais de l'Extérieur via un communiqué officiel fait à Dakar ce 7 juin 2017. fouta Actu rappelle que cette décision a été prise suite aux accusation porté sur le Qatar de soutenir les groupes terroristes . l’Égypte , les Emirats arabe unis , l’Arabie saoudite et le bahrain ont aussi couper leurs relation diplomatique avec le Qatar .  




                                                       Mamadou sy fouta ACTU

lundi 13 mars 2017

" Le Sénégal: les limites du PSE", d'El Hadj MAnsour Samb, " le PSE va faire tomber le Sénégal"

Contesté par tous les panélistes qui étaient présents à la conférence, le PSE a été décrit comme le "pêché originel" qui fera sombrer le Sénégal. D'éminents économistes se sont réunis avant-hier dans les locaux de la maison d'édition Harmattan pour débattre sur l'oeuvre d'El Hadj Mansour Samb intitulé, "Le Sénégal: les limites du PSE".

"Quelles sont les limites du PSE, ce programme censé développer le Sénégal?", c'est l'interrogation lancée par l'économiste El Hadj Mansour Samb lors de la cérémonie de dédicace de son oeuvre intitulée, "le Sénégal: les limites du PSE".

Jugeant nécessaire de préciser qu'il ne fait qu'apporter sa pierre à l'édifice, El Hadj Mansour Samb a rappelé que ce qui intéresse les Sénégalais, c'est l'amélioration de leur cadre' de vie . Dès lors, il a présumé que " pour qu'il y ait amélioration économique, il faudrait y avoir un débat contradictoire pour que les gens puissent prendre la meilleure solution possible". L'auteur a déclaré que le Sénégal fait des emprunts pour financer des projets qui "valent des milliards, qui sont réalisés par des partenaires extérieurs et font endetter de plus en plus le pays".

Selon lui, aujourd'hui, la pression fiscale est à 20% au Sénégal, la taxe intérieure sur recette fiscale, ne doit pas dépasser d'après les traités de l'UEMOA les 55% et le Sénégal est à 65%. Ceci est dû uniquement d'après El Hadj Mansour Samb, au fait qu'il a fallu "amasser beaucoup d'argent pour faire face aux 27 projets d'infrastructures du PSE. Le secteur industriel ne marche pas parce que 90% de ce secteur est paralysé. dès lors, comment peut-on faire émerger un pays avec 90% du secteur industriel paralysé", s'interroge-t-il.

Une question exempte de réponse dans un pays où la démocratie est "totalitaire" selon le Professeur Elimane Kane, qui a profité de la tribune de cette cérémonie pour encore fustiger le PSE en le taxant de "péché originel dépourvu de ce fond idéologique qui fera le développement du Sénégal". Pour lui, " il n'y a aucune forme de définition dans ce programme pour éclairer la lanterne des Sénégalais, et El Hadj Mansour Samb a su cerner cet état de fait dans son oeuvre", conclut-il.

source: la tribune

lundi 6 février 2017

Idriss Deby s'insurge contre la politique de l'Occident

Idriss Déby Itno, président du Tchad, le 18 janvier, à N’Djamena. © Vincent Fournier/JA
Chaos en Libye, enjeux sécuritaires autour du lac Tchad, crise pétrolière ou encore franc CFA. Le président tchadien livre un état des lieux sans concession de son pays et des relations entre Europe et Afrique.
Vingt-six ans d’apprentissage, jusqu’au brevet de pilote militaire, vingt-six ans à la tête du Tchad et, entre ces deux quarts de siècle, onze années à faire la guerre contre Kadhafi d’abord, contre Habré ensuite : la vie d’Idriss Déby Itno se découpe en tranches distinctes reliées par un fil conducteur unique – le pouvoir, qu’il soit au bout du fusil ou au fond des urnes. L’homme de 64 ans qui nous rejoint en cet après-midi du 18 janvier pour une rare interview s’appuie sur une canne, accessoire récent mais épisodique puisqu’il repartira sans, y compris pour redescendre les marches du Palais.
Physiquement en forme donc, psychologiquement serein, assure-t-il, mais politiquement soucieux. Entre la chute des cours du pétrole qui met l’économie tchadienne à genoux, le front social qui craque sous les coups de boutoir des syndicats et les défis sécuritaires que font peser Boko Haram et le chaos libyen, on le serait à moins. À N’Djamena, où nombre de chantiers sont en panne sèche, où les grands hôtels sonnent creux, où les check-points se sont multipliés depuis les attentats terroristes de 2015, la vie quotidienne est dure, et le climat tendu.
As de la diplomatie militaire et maillon fort du dispositif antijihadiste mis en place au Sahel par la France et les États-Unis, avec qui il partage une communauté d’ennemis, « IDI » doit faire face à la plus grave crise financière qu’ait connue le Tchad depuis quinze ans. Il s’en explique ici, sans langue de baobab ; quitte à ce que ses propos ne fassent pas que des heureux – ce dont il ne semble pas se soucier outre mesure.
Jeune Afrique : Votre mandat de président de l’Union africaine (UA) s’achève avec le sommet d’Addis-Abeba. Mission accomplie ?
Idriss DÉby Itno : Ce n’est pas à moi de le dire, mais aux Africains. Ils jugeront si cette mission difficile, importante, complexe a été menée avec succès ou non. En ce qui me concerne, j’ai le sentiment d’avoir fait ce que j’ai pu et ce que j’ai dû.
Un peu de sens de la solidarité et du partage à l’africaine ferait beaucoup de bien à l’Europe. »
Parmi les dossiers non encore résolus que vous transmettez à votre successeur, celui de la Libye est sans doute le plus problématique. Considérez-vous que ce pays représente toujours une menace de sécurité majeure pour la région ?
La Libye de Mouammar Kadhafi a joué un rôle exemplaire dans la construction de l’unité africaine, et sa disparition a généré un grand désordre interne dont les Africains, comme chacun le sait, ne sont pas responsables. Résultat, un pays sans État où les gens s’entre-tuent et un incubateur du terrorisme et des trafics en tout genre. Depuis 2011, tous les pays voisins de la Libye pâtissent de cette situation, et les choses n’ont pas l’air de s’arranger. Les Occidentaux, qui ont jugé utile de ne pas associer les Africains à leur projet d’assassinat de Kadhafi, continuent de nous tenir à l’écart. Nous avons donc décidé, lors du dernier sommet de l’UA à Kigali, de mettre en place un comité ad hoc dirigé par le président Sassou Nguesso.
Le Tchad a décrété, début janvier, la fermeture de sa frontière avec la Libye. Pour quelle raison ?
Jusqu’à la fin de 2016, la zone d’activité des terroristes de Daesh était pour l’essentiel concentrée assez loin des 1 100 km de frontière commune, à Syrte et dans la région de Benghazi. L’intervention des forces spéciales occidentales contre Daesh à Syrte n’a pas réglé cette menace, elle l’a déplacée depuis la côte méditerranéenne jusqu’à la région de Koufra au sud, à 200 km du Tchad, où les terroristes se regroupent. D’où notre décision de fermer et de renforcer notre frontière en multipliant par deux nos effectifs sur zone, ce qui, soit dit en passant, implique un coût financier important qui s’ajoute à celui que le Trésor public supporte déjà depuis cinq ans, le tout dans un contexte économique pour le moins morose.

TRUMP PREND LA DEFENSE DE POUTINE

Le président américain Donald Trump a défendu une nouvelle fois Vladimir Poutine devant l'opinion publique américaine, montrant qu'il ne renonçait pas à trouver des accords avec le président russe sur les affaires de la planète.
Une nouvelle flambée des combats entre forces ukrainiennes et séparatistes prorusses dans l'est de l'Ukraine a contraint cette semaine l'administration américaine à critiquer Moscou et promettre le maintien des sanctions internationales qui visent la Russie.
Mais dimanche, dans une interview diffusée sur Fox News avant le démarrage du très populaire Super Bowl, le président américain a défendu une nouvelle fois sa volonté de chercher à réchauffer les relations avec son homologue russe.
« Je le respecte », mais « ça ne veut pas dire que je vais m'entendre avec lui », a-t-il dit. « C'est un leader dans son pays, et je pense qu'il vaut mieux s'entendre avec la Russie que l'inverse », a-t-il dit.
Et au journaliste qui lui objectait que Vladimir Poutine était un « tueur », Donald Trump a invité de manière surprenante l'Amérique à un examen de conscience. « Beaucoup de tueurs, beaucoup de tueurs. Pensez-vous que notre pays soit si innocent ? » a-t-il demandé, sans expliciter sa pensée.
Cette dernière réflexion a immédiatement suscité une salve de critiques, y compris dans son propre camp où Vladimir Poutine fait souvent figure de repoussoir. « Je ne pense pas qu'il y ait une équivalence entre la manière dont les Russes se comportent et la manière dont les États-Unis se comportent », a déclaré Mitch McConnell, le chef de file des républicains au Sénat.
« C'est un ancien du KGB, un voyou, élu d'une manière que beaucoup de gens ne trouvent pas crédible », a-t-il ajouté.
Même indignation chez Michael McFaul, ancien ambassadeur américain en Russie et ancien conseiller de Barack Obama. « Cette équivalence morale que Trump continue de faire entre les États-Unis et la Russie est répugnante », a-t-il fustigé sur Twitter.
Lutte contre l'EI
Dans l'interview sur Fox News, le président américain a expliqué dans quel domaine il aimerait particulièrement se mettre d'accord avec la Russie : « Si la Russie nous aide dans le combat contre (le groupe) État islamique (...) et contre le terrorisme islamique à travers le monde, c'est une bonne chose. »
Donald Trump a demandé au Pentagone de lui fournir, d'ici à fin février, un plan pour accélérer la campagne contre le groupe État islamique, qui n'a que trop traîné en longueur, selon lui.
Or, les militaires américains ne cachent pas que l'attitude de Moscou sera déterminante pour préparer l'ultime bataille contre le groupe État islamique, la conquête de sa capitale autoproclamée Raqqa. La coalition ne peut pas par exemple lancer l'offensive sur Raqqa sans avoir une idée de ce que sera le statut de la ville libérée – un débat dans lequel la Russie joue un rôle-clé.
« Les Russes sont en position de force » en Syrie, expliquait récemment un haut responsable militaire américain à des journalistes, sous le couvert de l'anonymat. « Ils sont en Syrie à l'invitation du gouvernement syrien », alors que les États-Unis « ont fait intrusion » sans l'accord du gouvernement syrien, soulignait-il.
En cherchant un rapprochement avec le maître du Kremlin, Donald Trump est en décalage, voire en opposition avec nombre de caciques républicains, comme John McCain, l'ancien candidat républicain à la présidentielle de 2008, qui ne perd pas une occasion de dénoncer la menace russe. Mais une enquête publiée vendredi par le New York Times montre bien qu'il n'est peut-être pas tant que ça en décalage avec l'électorat républicain, pour qui la menace islamique radicale éclipse la menace russe. Interrogé sur l'endroit du monde qui représente pour lui la principale menace pour les États-Unis, l'électorat démocrate place à l'inverse la Corée du Nord en tête, suivie immédiatement par la Russie. Mais l'électorat républicain mentionne après la Corée du Nord une longue liste de pays musulmans, avant de citer la Russie, selon cette enquête.
Andrew Beatty et Laurent Barthelemy/AFP
SOURCEhttps://www.lorientlejour.com

jeudi 2 février 2017

Sidy Lamine recoit une "Gifle" de la part d'un Haal-Puular

Bonjour a tout un chacun Je voudrais partager mon opinion ou plutôt un éclairci sur la vidéo de Sidy Lamine Niass qui fait polémique et a fini de mettre toute la Communauté des Peulhs ( HAAL PUULAR) dans une colère noire. Le discours de Sidy dans le fond reflete la peur ou plutot la psychose d'une éventuelle union de toute la communauté Peulhs reparti dans les quatres coins du globe et de la sous-région en particulier. Le combat allant a l'encontre de cette ethnie ne date pas d’aujourd’hui. Sidy ne fait que s'inscrire sur cette logique puularophobe. Pour rappel Farika avait tenu un discours sur la télévision sénégalaise disant que les peulhs n'ont pas d'histoire. A l’époque moi qui vous parle était étudiant a l’université Cheikh Anta DIOP de Dakar. Moussa Lam, Mourtoudo, Tidiane Hanne et autres étaient les leaders de notre mouvement  . Ainsi on lui avait demande de quel raison il se permet de tenir de telle affirmation a l’époque Sidy était enseignant d'arabe. Apres ce combat, ce fut au tour d'Iba Der Thiam d'entree dans la danse en proclamant Lat Dior comme Hero National alors qu'on sait tous qu'il n'a jamais meme fut Damel. Tout ça dans le seule t unique but de combattre les peulhs. Avec l’avènement de Sakhir Thiam le Wolof sera déclare officiellement comme Langue National, snobant ainsi une communauté plutôt populaire et vaste que sont les Peulhs . A.R.P a mené un combat a l'encontre de cette décision  obligeant le gouvernement a organise un recensement. Cette opération n'a pas épargné cette communauté qui se verra divise sur des titres que leur confère les autres sachant que cette communauté est divise en caste . L' A.R.P s'est battu pour que ces considérations soit revues et que toute soit considérés juste comme des Haal Puular. Quant ceci fut acquise, les détracteurs ont trouve une autre méthode qui consiste a recenser les peulhs sur la base de nombre de langues parles. Ainsi de nombreux Haal-Puular ont été comptabilise ainsi en tant que Haal-puular et en tant que Wolof permettant ainsi au Wolof d'obtenir 48% et les Haal- puular se retrouve avec  27,72% . C'est en ce moment que Abdou Diouf décida sagement de proclamée le Wolof, Le Puular, Le Serere et Le Diola soit maintenus comme langue nationale et leur donnant ainsi une possibilité d’être enseigne dans les Ecoles, Universités ainsi que dans l'Administration. Ce rappel c'est juste pour vous faire comprendre que l'acharnement contre les Haal-puular ne date pas d'aujourd'hui . Le combat de Sidy c'est en faite sa haine acharnée contre les peulhs. C'est une colère en soi qu'il exprime le sentiment d’être repousses par une famille a laquelle tu brandissait ouvertement l'appartenance. C'est Khalifa Niasse même en personne qui avait révèle le fait qu' il n’était pas le fils de la famille et qu'il y a été juste accueilli et que son pere est Peulh. Ce sentiment d'humiliation s'est retourne en haine  de sa part a l’égard de cette communauté. Il fut un temps pendant que Baaba Maal était en tournée en Ourossogui , il était venu prétendant qu'il avait pour mission de convertir les Peulhs. Ce discours avait  suscite indignation de la part des foutankes qui tarda pas a lui remettre a sa place. Concernant les médias,il fut parmi les premiers a disposer d'une bande fm privée mais n'a jamais voulu que les Peulhs puissent y avoir un temps d’antenne. L'autre haine, c'est juste une expression de la peur. Parce que ils a toujours su faire chanter les présidents ( Abdou Diouf , Abdoulaye Wade) pour que ces derniers lui tord pas la main concernant les impots. Avec Macky, les agents d'imposition sont venu faire l'etat des lieux et se sont rendus comptes qu'en faite il ne payait pas ses impôts. On l'a sommer de payer mais il refusa d’obtempérer justifiant qu'il est le fils de Khalifa Niass. Il fut arrête et mis en garde a vue. A sa sortie, il fit une émission télévisé pour dire que Macky est en fait un batard et franc-macon et non musulman.Il fut arrête et mis en garde a vue a la caserne Samba Diery Diallo. Il lui etait demande de fournir des preuves sur les faits qui lui sont reproches mais il repondit ne pouvoir fournir car détenant pas de preuve. Il passa une nuit avant d’être relâcher. En définitive, sa haine est devenu plus apparente. En citant que Le Mali , La Mauritanie tous les savants sont des peulhs. Qu'au Senegal c'est un peulh qui préside et qu'en Gambie un Peulh vient d’être élu.Au Nigeria Mouhamed Bouhari est un peulh. Il alerte la guinee sur l'ethnie de l'opposant Celou Dalein qui est aussi peulh. Que les gens doivent stopper cette ascension des peulhs avant que ces derniers detruise le monde. Ironie du sort, Les peulhs ne sont pas partisant de la violence. Il suffit de voir les réalisations de ces peulhs au lendemain de leur élection. Par exemple Mouhamed Bouhari a trouve que Boko Haram hante le sommeil des nigériens et puis il leur repoussa hors des frontières. Macky Sall lui aussi avait trouve que Dakar etait dans tous ses etats. L'aeroport était au relenti et que nombreux etaient les organismes et autres Ong qui avait plier bagage et parti rejoindre les autres pays de la sous-region. C'est avec l'election de Macky que Dakar est devenu une plaque tournante et MACKY a redonner aux organismes leur pleins exercice. C'est sa l'oeuvre des peulhs. L’intégrité , le regret , la fierté la sociabilité et le retenu sont ceux ce qui anime le vécu des Peulhs. C'est pourquoi les gens ne doivent se focaliser sur les dires de Sidy mais plutot sur ce que Sidy a pointe du doigt. Parce que lui c'est l'union des Peulhs et leur entente qui lui hante. C'est aussi la dignité des Peulhs qui les dépasse. Alors unissons nous resserrons nos liens et tout le monde aura peur de nous peur de dire du mal de nous. L'exemple d'Adama Barrow doit suffire car c’était pas évident qu'un homme sans ressources et qui s’érigent en opposant contre un tyran et remporte les élections. Ils n'avait que ces doigts a pointer contrairement a Yaya qui lui disposer de tous les moyens financière et logistique. Voila la crainte de Sidy et voila comment tout Peulh devrait se comporter.

mardi 31 janvier 2017

La Somalienne devenu Depute AU Pays de L' Oncle Sam



C’est certainement l’une des femmes les plus médiatisées ces derniers jours. Ilhan Omar -34 ans, musulmane et ancienne réfugiée d’origine somalienne- vient de remporter son siège à la Chambre des représentants de l’Etat du Minnesota, aux Etats-Unis. Une première dans ce pays, désormais dirigé par un Donald Trump très opposé à l’immigration pendant la campagne présidentielle.Ilhan Omar, 34 ans, aura déjà passé 17 jours à la Chambre des représentants de l'Etat du Minnesota, quand Donald Trump emménagera à la Maison Blanche
Lorsque le 45ème président des Etats-Unis, Donald Trump, emménagera à la Maison Blanche le 20 janvier prochain, Ilhan Omar, 34 ans, aura déjà passé 17 jours à la Chambre des représentants de l'Etat du Minnesota. Prévue le 2 janvier prochain, son entrée à cette chambre parlementaire est une première aux Etats-Unis pour une femme d'origine somalienne qui plus est musulmane voilée et ancienne réfugiée.
Elle a été élue lors de l'Election Day, mardi 8 novembre, dans le cadre des législatives qui se tiennent traditionnellement aux Etats-Unis concomitamment avec les présidentielles. De tout de suite, elle a dit sa satisfaction dans un article paru sur son site :
« Ce soir est le point culminant de plus d'un an de travail acharné. Je suis si fière de cette victoire, parce que le District 60B représente le meilleur du Minnesota. Mes voisins et tous ceux qui sont ici dans cette salle représentent ce que nous, en tant que nation, voulons être : unis dans notre diversité. [...] Les résidents de longue date, les immigrants d'Afrique de l'Est et les étudiants, nous sommes venus ensemble et engagés dans le progrès politique. Nous avons parlé des enjeux qui nous préoccupent et nous sommes liés à l'avenir que nous voulons créer. »
L'élection de la député démocrate (DFL: Democrat Farmer Labor ou Parti Démocrate du Minnesota) à l'issue des législatives de mardi soir -qui se tenaient simultanément à la présidentielle- sonne fort aux Etats-Unis dans le contexte actuel. Il y a encore quelques jours, Trump se prononçait sans tabous et de façon particulièrement virulente envers musulmans et réfugiés.

De simple réfugiée à leader politique

Arrivée aux Etats-Unis à l'âge de 11 ans en provenance d'un camp de réfugiés au Kenya où elle avait passé quatre ans, c'est dans le Minnesota, comme la plupart des réfugiés somaliens, qu'Ilhan s'installe avec sa famille. Elle est tout de suite scolarisée. Brillante, elle évolue vite et fait des études supérieures en économie, puis en sciences politiques et relations internationales
Aujourd'hui mariée et mère de trois enfants a travaillé, entre autres, comme analyste politique et organisatrice communautaire. Elle a également siégé dans divers conseils d'administration d'ONG telles que la Ligue de Défense des Droits Civiques, la Confédération Somalienne du Minnesota ou encontre le Comité Central de son parti. Sans parler de sa récente expérience d'assistante politique d'Andrew Johnson, un conseiller Municipal de Minneapolis.

Suivie par Mogadiscio

Si certains considèrent que son élection aurait été la cerise sur le gâteau en cas de victoire d'Hilary Clinton, d'autres estiment toutefois fois qu'elle est la preuve que même dans l'Amérique de Donald Trump, tout peut vraiment arriver.



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source:http://afrique.latribune.fr/

Déja deux millions de Sénégalais inscrits pour la carte d’identité CEDEAO

Premier pays à avoir lancé la carte d'identité commune à la CEDEAO, le Sénégal annonce aujourd'hui avoir inscrit près de 2 millions de personnes. Pourtant malgré la satisfaction affichée par Dakar, les autorités sénégalaises ont encore du mal à accorder inscription et confection d'une carte qui devrait permettre d'achever l'intégration au sein des 15 pays membres de cet espace sous régional. Détails
Les Sénégalais sont très enthousiastes à l'idée de se doter de la carte nationale d'identité biométrique de la Cedeao. C'est ce qui ressort des chiffres des inscriptions dévoilés par la Direction de l'automatisation du fichier(DAF), un démembrement du ministère de l'Intérieur sénégalais. Près de 2 millions de Sénégalais se sont inscrits pour obtenir cette carte d'identité, synonyme de liberté de circuler librement sans visa ni autre document dans les 15 pays qui composent l'espace sous régionale de la CEDEAO.
Lancé le 4 octobre 2016 par le président Macky Sall pour le Sénégal (premier pays à franchir le pas), la confection des cartes biométriques fait partie d'un vaste mouvement de la Cedeao de renforcer l'intégration de l'ensemble régional ouest-africain. Dans ce cadre, la communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (Cedeao), créée en 1975, avait annoncé comme mesure, la création d'une carte d'identité biométrique commune aux 320 millions d'habitants vivant dans les 15 pays qui la composent.
La carte, équipée d'une puce contenant les filiations et informations biométriques de son détenteur, devrait être un tout en un. En effet, cette seule carte pourra faire office, au sein de la Cedeao, de carte d'identité, de carte de santé, de permis de conduire... Elle permettrait aux Etats d'avoir un fichier centralisé des habitants de l'espace Cedeao et de gérer ensemble une stratégie de gestion des flux humains au sein de l'espace.

2 millions d'inscrits mais loin du compte !

Jusque-là, le Sénégal est le premier pays à avoir mis en place les structures pour un démarrage effectif de la confection des cartes d'identité CEDEAO. Le pays ouest-africain a réussi à enrôler 2 millions de ses citoyens entre octobre 2016 et janvier 2017. Prévues pour prendre fin en avril 2017, les opérations d'enrôlement pour les nouvelles cartes devraient permettre d'atteindre la barre symbolique des 4 millions d'inscrits pour une population sénégalaise estimée à près de 14 millions de personnes, selon les projections de la DAF.
« Au plus tard fin avril, nous devrions terminer l'enrôlement des Sénégalais. Nous avons encore 2 mois et demi voire 3 mois pour cette opération. Si aujourd'hui nous avons pu atteindre 2 millions de personnes enrôlées, nous sommes en droit d'espérer atteindre les 4millions de personnes d'ici la fin de l'opération », s'est réjoui Ibrahima Diallo, le directeur général de la DAF lors d'une rencontre avec la presse sénégalaise.
Cependant, sur le terrain, l'enthousiasme des demandeurs de carte ne rime pas toujours avec efficience du service. Toujours selon les chiffres de la DAF, 350.000 nouvelles cartes seulement ont été effectivement confectionnées soit un de 17,5%. Le Sénégal est donc loin du compte même avec ses 45 commissions administratives installées dans les préfectures du pays sans compter celles des sous-préfectures, des communes et les missions itinérantes pour enrôler les Sénégalais de la diaspora.
Le mouvement de confection des cartes devrait également débuter dans les autres pays* de l'espace Cedeao, encore à la traîne.
*Les pays membres de la CEDEAO : Bénin, Burkina Faso, Cap-Vert, Côte d'Ivoire, Gambie, Ghana, Guinée, Guinée-Bissau, Liberia, Mali, Niger, Nigeria, Sénégal, Sierra Leone, Togo.
 

Source:http://afrique.latribune.fr/

mercredi 18 janvier 2017

Opinion Sur la Crise Gambienne

Cette vidéo résume de manière simple et claire l'impasse dans laquelle s'est plonge La Gambie. Apres avoir reconnu sa défaite Jammeh a finalement retourne sa veste pour désavouer la victoire de Adama Barrow. Yaya qui après avoir consenti pour une défaite et appelé son rival pour le féliciter s'est par la suite senti vise par des missiles tires de partout. Des défenseurs des droits ainsi que le parti du président nouvellement élu ont brandi la menace selon laquelle Yaya Jammeh méritait la CPI.

Le président Yahya Jammeh, défait lors des élections présidentielles de décembre dernier, refuse de céder le pouvoir à son rival, Adama Barrow. Alors que son investiture doit avoir lieu jeudi, le Sénégal et le Nigéria sont prêts à intervenir.
La grave crise politique que traverse la Gambie vire à l'affrontement. Le président Yahya Jammeh, qui refuse de céder le pouvoir à son successeur élu Adama Barrow, a décrété l'état d'urgence mardi. Mercredi, les démissions au gouvernement se poursuivaient dans ce pays anglophone d'Afrique de l'Ouest. Le Sénégal a lancé un ultimatum à Jammeh, et l'armée a pris position à la frontière, prête à intervenir. L'armée nigériane a également envoyé des hommes et des avions au Sénégal pour faire respecter la victoire de Barrow. De nombreux touristes et Gambiens ont quant à eux quitté le pays, craignant pour leur sécurité. 
Le Figaro fait le point.

mercredi 16 novembre 2016

POURQUOI LA DEMOCRATIE A TOUT PRIX

Au nom de la démocratie, des familles se déciment. Des vies et des habitations se voient réduites en muettes. De gré ou de force tous les pays du globe plus particulièrement du tiers monde se voient imposer ce système politique.

Mais suite a une réflexion personnelle j'ai eu a remarquer que ce système renferme beaucoup de non-dits.

c'est pour cela que j'ai su prendre parti et me démarquer. Ainsi je suis sous une optique critique. Je fustige la manière dont la démocratie est conçu par l'occidentaux et la manière dont ils nous l imposent de grés ou de force. Sans oublier les méthodes et moyens déployés pour l'instauration de ce système dans l'espace tiers monde.

Subjectivement je m'en vais vous décortiquer le mot DEMOCRATIE. Ainsi je me vois scinder le mot en deux. Donnant ainsi DEMO et CRATIE

En analysant le mot démo sous l'angle informatique on parle de démo quant il s'agit d'un logiciel de démonstration. Le mot démo ainsi analyser ,on peut en déduire que la démocratie est un système imparfait un système de tâtonnement qui n'a pas dit ces mots. Ainsi pourquoi obliger a des pays faibles économiquement d'adopter un système imparfait alors on sait tous que l'expérience a démontrer qu'au lendemain des indépendances  les pays qui ont eu a expérimenter ce model n'ont toujours pas pu sortir de l'ornière. Et malgré tout on continue a nous imposer ce model .Et nos dirigeants corrompus et collabos cèdent face  a la pression des oligarques et lobbying étrangers  en voulant  ou plutôt en acceptant detranscrire aveuglement le model sans étude préalable sur l'impact que pourrait avoir l'application de ce modèle sur l'espace tiers monde.

Donc initier un nouveau mode de gouvernance est il pas une solution. Car depuis des décennies malgré le sang qui a couler et tous les populations des décennies de pratique ce model de gouvernance n'a toujours pas répondre a l'exigence et a l’espoir des populations qui voient toujours des disparités sur le plan du développement connaitre un écart considérable et inquiétant et fait qu'on peine toujours a sortir de l'impasse.

On  parle du respect des droits de l'homme tout en oubliant que le respect des diversités culturelles devrait primer sur tout. Car on ne peut prétendre respecter l'homme tout en fustigeant reniant ou bafouant les pratiques et traditions ancestrales qui permettez moi de vous le rappeler est la première cause des guerres civiles et inter ethniques.il est  a noter que l occident ne cesse d'ingérer et d'interférer dans nos pratiques. en nous proposons ou parfois même en nous obligeant a abandonner coûte que coûte certains de nos pratiques sous prétextes que ces arrières, barbares ou dépassés. 

Il est à rappeler que dans la théologie  Dieu fait savoir au peuple que tous les peuples auront les présidents qu'ils méritent. Donc pourquoi vouloir outrepasser la volonté divine qui a déjà tracer notre chemin et prédit notre destiné.

A ces questions jamais l'occident nous donnera de réponse crédible ou convaincante. Donc à nous jeunesses africains conscients et fier de soi de contre carrer leur système. Car toute la manigance occidentale pour l'implantation de la démocratie dans les pays du tiers monde se résume a la pérennisation de l'occidentalisme venant ainsi se substituer a l'impérialisme et au colonialisme.





mercredi 9 novembre 2016

TRUMP TRIUMPHA

Résultats de recherche d'images pour « donald trump »

Apres six de campagne de débats parfois houleux et de suspense l’Amérique a enfin décidé de se mettre a l'homme le plus incontesté de toute la scène politique de l'histoire américaine. Pourtant tous les sondages donnaient Hillary vainqueur. Elle a su être a la tète jusqu’ à la veille de la présidence. Moment qu'attendez les américains pour faire leur choix. Les sciences exacts n'ont pas su être assez exact pour prédire cette grande surprise qui est la victoire de Donald Trump.

dimanche 6 novembre 2016

Laïcité à l’américaine : découvrez les "clubs Satan"

Un groupe d’activistes anti-chrétiens, le Temple satanique, a créé des clubs Satan. Les petits Américains de l’école élémentaire suivent des programmes l’après midi après le temps d’instruction proprement scolaire : cela leur fera une nouvelle option. L’objectif avoué est de faire pièce aux « Christian Good News Clubs » lancés par des chrétiens évangéliques. Pour rétablir la « laïcité », et la « séparation de l’Église et de l’État ».

Doug Mesner, le fondateur du temple satanique et des clubs Satan, a un abord lisse et poli, un discours rationnel et mesuré. Il déplore que les chrétiens évangélistes du CEF (Child Evangelism Fellowship) aient contourné la constitution américaine et se soient infiltrés avec leur « Christian Good News Clubs » dans l’école publique, brisant ainsi la séparation entre l’Église et l’État. Mais puisque la Cour suprême des États-Unis a décidé dans une affaire complexe, en 2001, qu’on ne saurait exclure un programme « après école » en raison des opinions religieuses de ses promoteurs, et que dix ans après, on comptait plus de 3 500 Good News Clubs, il a décidé d’en faire autant avec ses Clubs Satan.

Satan garant de la laïcité
Il ne s’agit ni plus ni moins à l’en croire que de rétablir l’équilibre constitutionnel et la laïcité par une option non chrétienne. Et, toujours selon lui, les Clubs Satan et ce qu’on y fera n’auront rien avoir avec un être surnaturel malfaisant. Le temple satanique rejette hautement toute forme de surnaturel et ne jure que par la rationalité scientifique. Pour Mesner, « Satan » est juste « une construction métaphorique » censée représenter le rejet de toute forme de tyrannie exercée sur le cerveau humain. Héhé : tout cela est très poli et très rationnel, mais revient à présenter explicitement le christianisme comme une tyrannie, et Satan comme un libérateur.
La suite n’est pas moins policée, ni moins claire. Mesner ajoute : « Il est capital que les enfants comprennent qu’il y a de multiples façons de voir sur chaque question, et qu’ils ont un choix pour déterminer leur façon de penser ». En somme, les clubs Satan leur donneront une option : Jésus ou Satan. Telle est la nouvelle laïcité, conforme aux habitudes mentales américaines : même ses ennemis évangélistes reconnaissent que Mesner a « l’amendement numéro 1 pour lui ». Au nom du pluralisme et de la liberté, on débouche sur un parfait relativisme.

Les clubs Satan, une option préférable pour l’école
La cible des clubs Satan est incontestablement de faire une concurrence directe aux clubs Good News. Et ils jouent pour cela sur leur côté libéral et propre sur eux : « Alors que les Good News Club se focalisent sur endoctrinement, remplissant les enfants de la peur de l’enfer et du courroux de Dieu, les clubs Satan insisteront après l’école sur le libre examen, le rationalisme. Nous préférons donner aux enfants un aperçu des merveilles de la nature qui les entoure, pas la peur de l’horreur éternelle de l’autre monde ». À l’en croire, ce seraient les chrétiens les vrais satanistes.
Et la rhétorique fonctionne. Le Washington Post rapporte le cas d’une éducatrice de bon niveau, Amy Jensen, qui a décidé de diriger un Club Satan après avoir comparé ses programmes avec ceux du Good News Club. Selon elle, ils inspirent la bienveillance et l’empathie pour tout le monde, et respirent le sens commun. Alors que leur concurrent, bien sûr, enseignent « la peur et la haine des autres croyances ».

vendredi 21 octobre 2016

Macky case ses partisans: La preuve

Les 150 membres du Haut Conseil des collectivités territoriales sont désormais connus. Après les 80 qui ont été indirectement élus, le président Macky SALL a signé le décret portant nomination des 70 autres membres de cette nouvelle institution. Une liste loin d’avoir été ficelée au hasard. D’abord, il y a ces responsables politiques bien connus du landerneau politique sénégalais pour avoir antérieurement, occupés des postes de responsabilités. C’est le cas des anciens ministres Aliou SOW,  Landing SAVANE, Souty TOURE ; de Badara Mamaya SENE, Samba Bathily DIALLO, Aliou DIA, Me Ousmane SEYE etc. Ensuite, il y a les militants de l’APR qui foisonnent. Maël THIAM, administrateur du parti de Macky, Lala Aïcha FALL, présidente de la Coalition des Femmes Mackystes pour l’Emergence (COFEM). Il y a également les alliés avec Massène NIANG coordonnateur du Mouvement pour le socialisme et l’unité (MSU), Maguette THIAM ancien SG du PIT. Le président Macky SALL n’a pas non plus oublié les chefs religieux, les «citoyens ordinaires » comme il les appelait. Issa Laye THIAW, fils du Khalife des Layènes, Mamadou Mahmouth NIASSE,  El had Moustapha GUEYE.
Mais le chef de l’Etat n’a pas griffonné des noms sans prendre en compte la capitale qui échappe à la mouvance présidentielle. En plus de Maël THIAM, de Samba Bathily DIALLO, le leader de l’APR a jeté son dévolu sur des responsables à même de tenir tête à Taxawu Dakar dans la capitale.
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jeudi 20 octobre 2016

Répression de la marche de l'oppostion: J.PDias «recadre» Abdoulaye D. Diallo et le Préfet

Répression de la marche de l'oppostion: J.PDias «recadre» Abdoulaye D. Diallo et le Préfet

SENXIBAR- On ne parle pas le même langage dans la mouvance présidentielle. Suite à la marche réprimée de l’opposition le 14 octobre dernier, des voix discordantes s'élèvent chez les alliés du Président de la République. Membre de la coalition "Macky 2012", Jean Paul Dias a pris le contre-pied de Macky Sall et cie. Au micro de la RFM et repris par l'AS, M.Dias est sorti hier du bois pour faire feu sur Abdoulaye Daouda Diallo et le «petit préfet» de Dakar. Sur les ondes de la RFM, le leader du Bloc centriste Gaindé (Bcg)ccuse les deux protagonistes d’avoir saboté la marche de l’opposition. Pour lui, le ministre de l’Intérieur et le préfet de Dakar sont les seuls responsables du désordre qui a prévalu lors de cette marche. Pour le membre de la coalition Macky2012, un «minable » arrêté préfectoral ne saurait remettre en cause le droit constitutionnel à la marche. Très remonté, l’ancien responsable libéral dénonce l’attitude «irresponsable » des forces de l’ordre qui ont poursuivi les opposants du rond point RTS à l’avenue Bourguiba. Cette situation de guerre ouverte entre le pouvoir et l’opposition est incompréhensible dans la mesure où le dialogue national a été lancé il y a 8 mois par le Président. 
Le journal l'AS mentionne que la sortie du secrétaire général du BCG se déroule ans un contexte marqué par la convocation au tribunal de son fils, Barthélémy Dias dans une affaire de meurtre.

Khalifa Sall se prononce sur L'affaire Diaz Fils

Le maire de Dakar, Khalifa Sall qui était, ce matin, au Tribunal pour soutenir son camarade de parti, Barthélémy Dias, a déclaré que cette affaire épousait tous les contours d’une affaire politique, au vu du timing de la réouverture de ce dossier qui défraie la chronique depuis 2011.khalifaa

Les coïncidences semblent troublantes pour Khalifa Sall qui dénonce une stratégie de politique politicienne.
« D’abord, il faut rendre grâce à Dieu et prier sur le Prophète Mohammed (PSL) et aussi prier pour le repos de l’âme de Ndiaga Diouf et nous en profitons pour renouveler nos condoléances. Il faut se féliciter que Barthélémy Dia ait eu gain de cause. Car, quand il a été débouté, il a demandé à être jugé. Ca fait maintenant cinq ans et on l’attrait à la barre aujourd’hui en connaissant sa situation spécifique. C’est procès politique, d’autant que depuis 2011, Barthélémy Dias a demandé à être jugé et il a fait la prison pour cela. Maintenant, on l’attrait tout en connaissant sa situation particulière » a fustigé Khalifa Sall, au Tribunal de Dakar

Macky case Tanor

Les elections de  2012 ayant connu son epilogue par la naissance d'une coalition: Benno Bokk Yaakar. Une coalition a forme arc en ciel regroupant la plupart des parties de l'opposition qui s'etait érige en bouclier contre la reelection de Wade. Cette coalition a consacre l'election de Macky Sall a la tete du pays. Mais ce dernier se croit leur etre redevable et tant bien que mal a vouloir caser tous ces partisans quite meme a créer d'autre institution. La dernière en date du referendum ayant consacre la HCCT (Haute conseil des collectivités territoriales.) ou Ousmane Tanor Dieng se voit caser. Une institution coûteuse dont son importance reste a prouver . 

mercredi 19 octobre 2016

Khadafi: L'Afrique te regrette

Muhamar Kadhafi 20-10-2011 il y'a 5 ans le guide libyen nous quittait. lâchement abattu par les envoyés de l'ordre mondial qui lui devait plus de 500 milliards de dollars
le Guide libyen ne cachait pas son penchant panafricaniste. Question trop sensible dans un contexte de mondialisation où le diviser pour régner n’a jamais été aussi présente dans les stratégies de ceux qui veulent s’approprier les ressources d’un continent dont les dirigeants sont peu portés à défendre les intérêts de leurs peuples.
C'est dans une très large mesure que se justifie les raisons pour lesquelles ces marionnettes ainsi que leur lâches de marionnettistes ont concoctés ta mort.Ils t'ont tué avec la complicité des tiens.
Si Sarko a si facilement accepté de servir de société écran à l’impérialisme américain dans cette guerre, si l’armée française a servi d’armée supplétive des Américains, c’est parce qu’en 2011 devait sortir une monnaie unique africaine. Et c’en aurait été fini du Franc CFA fabriqué à Chamalières.
C’est par le Franc CFA que l’impérialisme français tient encore ses colonies d’Afrique de l’ouest. C’est Kadhafi qui allait financer la majeure partie de la monnaie africaine indépendante. Et l’argent de la Libye coincé dictatorialement dans les banques occidentales depuis le début de la guerre devait notamment servir à ça !
Kama n'arrêtera jamais de te pleurer 😢

Macky Sall entame sa tournée nationale

Dans le cadre d'une tournée qui le mènera dans différente localité du pays,Le president de la république pourra t-il a travers cet acte pose reconquérir le cœur de ces concitoyens dont l'espoir est entrain de se convertir en désespoir.
Apres un referendum conteste, la crise scolaire et maintenant le cas de Petrotim dont la population réclame toujours des réponses sur les retours de profit ainsi que l'implication de son frère dans le deal du siècle.