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lundi 13 mars 2017

Le Lion s'est Reveille : MACKYAVEL SALL

Sall Ngary ya waxone ne réveille pas un lion qui dort.
Surement l'opposition a force de faire trop de brouhaha dans le Macky a sans intention marche  sur la queue du lion.
Le lion rouge a rugit et Khalifa paya la colère de Sall Ngary .
L'opposition est dans l'abus et indésirable selon Macky et toutes les moyens sont bons pour liquider tout potentiel rival et dont le taux de popularité ne cesse de grimper. BAMBA FALL, KHALIFA SALL sont deux maires qui ont su s'imposer dans leur localité et conquérir le cœur de la population grâce aux résultats réalises sur le domaines d'infrastructures dans leur localites respectives. Khalifa donna une bonne racler a son ex PM Mimi TOURE, et Bamba corrigea Seidou Gueye malgré l'appui du roi du Mbalax et de Paco.
Macky a avec lui des vieux charognards qui ne sont pas prêts pour la retraite et a céder leur fauteuil aux jeunes. Il s'agit la de Tanor et de Niasse.
Personne ne doit se prononcer sur le pétrole ou réprimander Salle ment  le petit Aliou au risque de voir l’arène politique se dompter par la colère et le rugissement du lion en colère
Macky s'inscrit dans une dévolution monarchique du pouvoir avec toute la lignée Sall Faye au commendes de nos institutions.
Le lion serait il pas rancunier et mélancolique.

mardi 31 janvier 2017

Djibouti plaide pour un transcontinental allant jusqu'au Sénégal


Après le démarrage de la ligne de train reliant Addis-Abeba à Djibouti, ce petit pays d’Afrique de l’Est espère maintenant une connexion avec la partie Ouest du Continent, débouchant jusqu’au Sénégal. Un projet audacieux qui vise à maximiser les échanges entre les pays du continent.
En marge des travaux du sommet de l'Union Africaine qui se déroule à Addis-Abeba, le président djiboutien, Ismail Omar Guelleh, s'est entretenu samedi avec son homologue sénégalais, Macky Sall, plaidant pour la réalisation d'un projet ferroviaire qui reliera Djibouti à Dakar. Il s'agit pour le président Guelleh, de désenclaver le continent africain dans son ensemble et faciliter davantage la communication entre les Africains, rapporte dimanche l'Agence Xinhua (ADI).
« Il y a des maillons qui manquent pour l'effectivité de cette voie ferrée afin de réussir à désenclaver l'Afrique d'Est en Ouest, du Nord au Sud. Mais nous attendons beaucoup du Sénégal pour tirer une partie du continent africain », a expliqué le chef de l'Etat djiboutien.


Source:http://afrique.latribune.fr/

jeudi 20 octobre 2016

Répression de la marche de l'oppostion: J.PDias «recadre» Abdoulaye D. Diallo et le Préfet

Répression de la marche de l'oppostion: J.PDias «recadre» Abdoulaye D. Diallo et le Préfet

SENXIBAR- On ne parle pas le même langage dans la mouvance présidentielle. Suite à la marche réprimée de l’opposition le 14 octobre dernier, des voix discordantes s'élèvent chez les alliés du Président de la République. Membre de la coalition "Macky 2012", Jean Paul Dias a pris le contre-pied de Macky Sall et cie. Au micro de la RFM et repris par l'AS, M.Dias est sorti hier du bois pour faire feu sur Abdoulaye Daouda Diallo et le «petit préfet» de Dakar. Sur les ondes de la RFM, le leader du Bloc centriste Gaindé (Bcg)ccuse les deux protagonistes d’avoir saboté la marche de l’opposition. Pour lui, le ministre de l’Intérieur et le préfet de Dakar sont les seuls responsables du désordre qui a prévalu lors de cette marche. Pour le membre de la coalition Macky2012, un «minable » arrêté préfectoral ne saurait remettre en cause le droit constitutionnel à la marche. Très remonté, l’ancien responsable libéral dénonce l’attitude «irresponsable » des forces de l’ordre qui ont poursuivi les opposants du rond point RTS à l’avenue Bourguiba. Cette situation de guerre ouverte entre le pouvoir et l’opposition est incompréhensible dans la mesure où le dialogue national a été lancé il y a 8 mois par le Président. 
Le journal l'AS mentionne que la sortie du secrétaire général du BCG se déroule ans un contexte marqué par la convocation au tribunal de son fils, Barthélémy Dias dans une affaire de meurtre.

Khalifa Sall se prononce sur L'affaire Diaz Fils

Le maire de Dakar, Khalifa Sall qui était, ce matin, au Tribunal pour soutenir son camarade de parti, Barthélémy Dias, a déclaré que cette affaire épousait tous les contours d’une affaire politique, au vu du timing de la réouverture de ce dossier qui défraie la chronique depuis 2011.khalifaa

Les coïncidences semblent troublantes pour Khalifa Sall qui dénonce une stratégie de politique politicienne.
« D’abord, il faut rendre grâce à Dieu et prier sur le Prophète Mohammed (PSL) et aussi prier pour le repos de l’âme de Ndiaga Diouf et nous en profitons pour renouveler nos condoléances. Il faut se féliciter que Barthélémy Dia ait eu gain de cause. Car, quand il a été débouté, il a demandé à être jugé. Ca fait maintenant cinq ans et on l’attrait à la barre aujourd’hui en connaissant sa situation spécifique. C’est procès politique, d’autant que depuis 2011, Barthélémy Dias a demandé à être jugé et il a fait la prison pour cela. Maintenant, on l’attrait tout en connaissant sa situation particulière » a fustigé Khalifa Sall, au Tribunal de Dakar

TOP 7 Des Presidents qui s'accrochent au Pouvoir

Ils sont arrivés au pouvoir soit par les armes, soit par les urnes. Ceux-ci ont tout fait pour y rester pendant longtemps. En Afrique rarement les présidents changent. Certains présidents au pouvoir depuis le siècle dernier, ont déjà validé leurs tickets de réélections. Reste à savoir qui bâtera le record de longévité détenu par Omar Bongo, l’ex-président du Gabon, sui a fait 41 ans aux commandes de son peuple.
1 — Teodoro Obiang Nguema Mbasogo (Guinée Equatoriale) au pouvoir depuis 1979
Teodoro Obiang Nguema Mbasogo (Guinée équatoriale, depuis 1979)
2 — José Eduardo Dos Santos (Angola)  au pouvoir 1979
José Eduardo Dos Santos (Angola, depuis 1979)
3- Denis Sassou N’Guesso ( Congo) au pouvoir depuis 1979, mais en discontinu

Denis Sassou-Nguesso (République démocratique du Congo, depuis 1979 mais en discontinu)

4 — Paul Biya (Cameroun)  au pouvoir 1982
Paul Biya (Cameroun, depuis 1982)
5 — Yoweri Museveni (Ouganda) au pouvoir depuis 1986
Yoweri Museveni (Ouganda, depuis 1986)
6-  Robert Mugabé (Zimbabwé) au pouvoir depuis 1987

Robert Mugabe (Zimbabwe, depuis 1987)

7- Idriss Deby Into (Tchad) au pouvoir depuis 1990
Idriss Déby Itno (Tchad, depuis 1990)

Esclavage en Mauritanie : comment affronter le déni ?



Alors que les opinions internationales font preuve de vigilance quand au respect des droits de l’Homme, étrangement, l’esclavage persistant en Mauritanie suscite beaucoup trop d’indifférence et pourtant 18% de la population y vit encore aujourd’hui en esclave. Dans son article, Asmâa Bassouri,dénonce fermement le silence organisé en chaine depuis le sommet de l’Etat jusqu’à la base autour de l’esclavage. 

Ce fléau est certes réprimé par la loi mauritanienne mais que faire quand le phénomène persiste dans la loi du silence ? Que faire quand même les religieux s’en mêlent et laissent croire aux esclaves que leur sort est normal et voulu par Dieu ? L’auteure fait alors des propositions pertinentes pour tenter de lutter contre l’ignominie.

Sous l’œil observateur mais indifférent de la communauté internationale, la pratique de l’esclavage se perpétue en Mauritanie, qui est estimée encore aujourd’hui à quelques 600.000 esclaves, soit 18% de la population.

Le ciblage impitoyable des militants d’ONG anti-esclavagistes, met en relief l’hypocrisie du régime en place, cherchant manifestement à faire perdurer le statu quo. Pourquoi la situation des esclaves en Mauritanie peine-t-elle à évoluer ?

Officiellement aboli en 1981, pour ensuite être successivement incriminé en 2007, puis considéré comme crime contre l’humanité en 2015, l’esclavagisme fait l’objet d’une stratégie de l’autruche où pouvoirs politique, judiciaire et religieux, seraient tous complices.

D’abord, les dirigeants au pouvoir semblent non seulement être peu enclins à éradiquer cette pratique, mais placent dans leur ligne de mire les militants abolitionnistes mobilisés sur la question, en même temps qu’ils continuent à interdire l’entrée en Mauritanie à certaines ONG notoires. Ils adoptent une attitude "négationniste" réfutant catégoriquement l’existence d’un tel phénomène sur leurs terres, quand bien même l’adoption successive des lois pénales sus-indiquées, prouve le contraire.

Une adoption qui – rappelons-le – servait uniquement d’alibi que dicte notamment la préservation des relations extérieures, étant donné qu’elle n’a pas été accompagnée sur le plan économique et social, de mesures nécessaires pour éduquer les esclaves et permettre leur insertion sur le marché du travail. Beaucoup ne sont même pas encore conscientisés par rapport à leur état d’esclave, faute de sensibilisation.

Pour remonter un peu dans l’histoire, ce manque de volonté politique serait dû et, à la structure féodale de la société mauritanienne, laquelle nourrit et entretient la culture esclavagiste.

A la croisée des chemins entre le monde arabe et l’Afrique noire, la population mauritanienne est dirigée par les Beydanes, dits encore Maures blancs, de descendance arabo-berbère qui soumettent les populations noires à des violations flagrantes des droits de l’Homme, après les avoir capturés et leur avoir assigné les tâches jugés avilissantes.

Dès la naissance, le rang social de l’individu est déterminé – noble ou esclave – avec citoyenneté pleine et entière pour le premier, contre un déni d’humanité pour le second, qui reste la propriété de son maître.

Ce dernier peut le faire travailler pendant de longues heures sans rémunération, abuser de lui ou le torturer, et bien évidemment le vendre s’il le veut. L’abolition effective de l’esclavage serait une menace aux intérêts des beydane . Cela bouleverserait la société et aurait pour conséquence de redistribuer les cartes.

Si cette stratification sociale n’est pas maintenue, l’influence des beydanes en pâtirait grandement d’un point de vue politique, d’où le déni total face à la persistance de l’esclavagisme. Ceci d’autant qu’affranchir les esclaves reviendrait à « offenser » les notables pour lesquels la possession d’esclaves symbolise leur statut dans un pays pauvre dont ils contrôlent l’économie.

Ensuite, les esclavagistes bénéficient d’une totale impunité, les juges refusant de connaître d’affaires d’esclavagisme sous prétexte que cette pratique a été abolie par les textes, et que la traite des esclaves en marchés publics n’existe plus. Or, l’abolition reste purement théorique, et le commerce des esclaves a changé de forme (échange, cadeaux de complaisance… etc.).

Il s’en suit que les esclaves fugitifs sont souvent remis à leurs maîtres par la police. Tout effort visant à identifier et poursuivre les responsables s’en retrouve alors bloqué. La loi n’est plus dans ce cas le refuge de l’opprimé, mais l’arme de l’oppresseur. Elle n’est plus un bouclier, mais une épée. Même certains milieux intellectuels se sont montrés complaisants en n’usant pas des médias pour dénoncer l’impunité.

L’attitude des juges s’inscrit dans la lignée de l’inertie politique relativement à la question. Une attitude honteuse s’élevant au rang de déni de justice, compte tenu du droit national abolitionniste existant, mais aussi et surtout des engagements internationaux de la Mauritanie dans ce sens, ayant ratifié au moins cinq instruments, y compris la Charte Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples, dont le mutisme des dirigeants à propos du sort des esclaves en Mauritanie nous confirme encore une fois, qu’à l’école des droits de l’Homme, le continent africain continue d’être un élève médiocre.

Par ailleurs, la religion telle que manipulée par les maîtres sur aval des chefs religieux, contribue au conditionnement psychologique des esclaves qui chercheront rarement à s’affranchir. Sur la base d’une interprétation erronée du Coran et des traditions prophétiques, on leur inculque que servir leurs maîtres est un devoir religieux, et que toute désobéissance mène à l’enfer.

L’attachement des esclaves à leurs maîtres en devient dès lors des plus puissants, dédoublé de la peur du chômage et de n’avoir nulle part où aller, la dépendance économique étant aussi l’un des meilleurs moyens d’asservir les esclaves.

Abolir l’esclavage dans un pays où il est ancestralement enraciné reste un processus long et difficile, étant donné les bouleversements économiques et psychologiques qu’il impliquerait. Mais une chose reste sûre, la seule promulgation d’une loi sans aucune force d’application est de la poudre aux yeux. Une approche globale agissant sur tous les leviers susceptibles de remettre en cause le statu quo actuel est nécessaire.

Cela commence par la mobilisation de la communauté internationale pour faire suffisamment pression sur le régime afin qu’il soit contraint d’honorer ses engagements et de faire appliquer les lois en vigueur, par tous les moyens légaux et diplomatiques, y compris la suspension de toute aide financière pour obliger le gouvernement à prendre au sérieux l’éradication de l’esclavage, voire la saisine de la Cour Pénale Internationale par voie de résolution du Conseil de Sécurité de l’ONU.

A côté de la promulgation de lois, le gouvernement doit fournir les conditions de leur application, notamment des tribunaux spéciaux pour accélérer les procédures. De même, il faudrait éviter que des magistrats descendants d’esclavagistes ou détenant eux-mêmes des esclaves instruisent ce genre d’affaires en raison du conflit d’intérêt.

Ensuite, il est fondamental que les institutions et hommes religieux, en collaboration avec la les médias et la société civile, puissent reconnaître que l’esclavage n’a aucun fondement religieux et mener des campagnes de sensibilisation auprès de la population pour dévaloriser cet acte abominable.

La sensibilisation, l’éducation et la formation sont en effet des instruments incontournables pour faciliter l’émancipation des esclaves. Enfin, il est impératif de penser à leur insertion professionnelle que ce soit via l’emploi salarié ou l’entrepreneuriat, notamment en leur octroyant des prêts.

Pour autant, il serait utopique d’espérer que les dirigeants au pouvoir – qui se meuvent dans un monde statique – initient d’eux-mêmes une quelconque mesure. Il est besoin de pression interne et externe sur les politiques pour rompre avec ce déni de réalité laissant se perpétrer des pratiques rétrogrades du Moyen-âge.

Asmâa Bassouri, doctorante en droit international, Université Cadi Ayyad Marrakech (Maroc).

Article publié en collaboration avec Libre Afrique

source: Ndarinfo

Pétrole, gaz, répression des opposants,… : LE SENEGAL S’EXPLIQUE DEVANT L’UE

Dans le cadre du dialogue avec l’Union européenne, le gouvernement a rencontré hier sa délégation accréditée à Dakar. Le pétrole, le fichier électoral et la situation des prisons étaient au cœur des débats, qui passionnent le monde politique et la société civile.
Le gouvernement sénégalais a réuni hier, lors d’un déjeuner de travail, les diplomates de l’Union européenne afin de les rassurer sur les dossiers qui agitent le landerneau politico-médiatique : il s’agit de la polémique sur le pétrole, le gaz, le fichier électoral dont la fiabilité est contestée par l’opposition, les mauvaises con­ditions carcérales… Bien évi­dem­­ment, le climat politico-social est délétère,  comme l’atteste la dernière marche de l’opposition, qui promet de sillonner les ambassades occidentales pour dénoncer les «dérives» du régime en place. Ainsi, les ministres Mankeur Ndiaye (Affaires étrangères), Me Sidiki Kaba (Justice), Abdoulaye Daouda Diallo (Intérieur), Thierno Alas­sane Sall (Énergie) et Birima Mangara (Budget) ont dressé aux diplomates de l’Ue la situation socio-économique du pays.
Sur la situation énergétique, le ministre Thierno Alassane Sall a livré toutes les informations aux diplomates sur les contrats pétroliers. Cette démarche rencontre l’adhésion de l’Ue. «C’est un débat social important que les autorités mènent déjà. Le pétrole et le gaz sont des ressources importantes qui nécessitent la mobilisation de tous les Sénégalais dans l’intérêt de tous», déclare Joaquim Gonzalez Ducay, chef de la délégation de l’Ue au Sénégal, qui salue la démocratie sénégalaise. «L’U­nion européenne est en phase avec le gouvernement sur cette question», se félicite Mankeur Ndiaye.
À son tour, Abdoulaye Daouda Diallo a exposé la situation du fichier électoral avec la confection des cartes d’identité. Le ministre de l’Intérieur a également juré la main sur le cœur que le calendrier républicain sera respecté avec la tenue des élections législatives en 2017 tandis que, assure-il, les Locales et la Présidentielle sont calées en 2019. Pour sa part, Me Sidiki Kaba a sollicité l’aide de l’Ue à l’endroit du Sénégal pour la fin des longues détentions préventives en milieu carcéral.
Reconnaissant devant la Délégation européenne que les prisons sénégalaises souffrent de surpeuplement, le Garde des Seaux a indiqué que le gouvernement entend construire d’autres maisons de détention. Initiateur de la rencontre, Mankeur Ndiaye s’est réjoui des succès de la diplomatie sénégalaise matérialisée, selon lui, par la présidence du Conseil de sécurité de l’Onu que doit occuper le Sénégal au mois de novembre. Pour rappel, le Sénégal siège dans cette prestigieuse instance de l’Onu en qualité de membre non-permanent pour la période 2016-2017.
bgdiop@lequotidien.sn

mercredi 19 octobre 2016

Hommage A Mouammar Khadafi Guide Spirituel Lybienne : kHADAFI STILL ALIVE


Résultats de recherche d'images pour « mouammar kadhafi »
En ce jour ils avait tue un homme
En ce jour un hero a été assassine
Ils ont complote et anéantis son pouvoir
Ils ont complotes et ruiner le pays
Se couvert de la démocratie ils nous mener le pays au chaos

Ta mort a Laisse le pays sans guide
Ta mort a laisse ta population orpheline
Toi qui a su jouer le role d'un guide et leader
Avec toi ta population était a l'abris du besoin

De fils de prince ils vivent desormais dans l'impasse
Ta mort a mener le pays dans des guerres tribales
Des conflits intestines mines tout ton pays
Et c'est sur que la paix en libye n'est pas pour demain

Macky Sall entame sa tournée nationale

Dans le cadre d'une tournée qui le mènera dans différente localité du pays,Le president de la république pourra t-il a travers cet acte pose reconquérir le cœur de ces concitoyens dont l'espoir est entrain de se convertir en désespoir.
Apres un referendum conteste, la crise scolaire et maintenant le cas de Petrotim dont la population réclame toujours des réponses sur les retours de profit ainsi que l'implication de son frère dans le deal du siècle.

lundi 17 octobre 2016

Le président serbe aux Occidentaux : «Êtes-vous sûrs d'être des démocraties comme vous le pensez ?»

Tomislav Nikolic a interpellé l'Union européenne, critiquant son attitude vis-à-vis de la Russie. Il en a profité pour réaffirmer l'indépendance de son pays, ainsi que les «liens fraternels» qui unissent Moscou et Belgrade.
Dans un entretien donné à l'agence russe TASS, le 13 octobre, le président serbe Tomislav Nikolic s'est exprimé au sujet des sanctions imposées à la Russie par les pays Occidentaux. A cette occasion, il s'est adressé aux «Etats qui disent du mal de la Russie mais échouent à comprendre la réalité».
Il a notamment déclaré : «De nombreux pays, dont beaucoup sont persuadés d'être des démocraties, devraient prendre un moment pour s'interroger : correspondent-ils à l'image qu'ils se font de la démocratie, ou suivent-ils en permanence les ordres d'un seul leader ?»
Ajoutant que la Serbie avait démontré, au fil des années, qu'elle était «une véritable amie» de la Russie, il s'est félicité que son pays n'ait pas marché dans les pas des autres nations européennes. Selon lui, cela aurait «ruiné tout ce qui a été accompli au cours des ans et des siècles, au simple prétexte que quelqu'un nous l'aurait ordonné.»
Alors que le volume des échanges entre l'Union européenne et la Russie a presque été divisé par deux depuis trois ans en raison notamment des sanctions économiques décrétées contre la Russie, Tomislav Nikolic a annoncé son intention de  renforcer les partenariats d'investissement entre Belgrade et Moscou, unis par des «liens fraternels.»


Source: rt.com

Corée du Nord : un nouvel essai nucléaire face à «la menace américaine»

© KNS / KCNA Source: AFP
La Corée du Nord hausse le ton suite au déploiement de bombardiers stratégiques américains près de leur territoire et confirme son sixième essai nucléaire. Les Etats-Unis dénoncent l'attitude de Pyongyang.
«Cette provocation ne sert qu'à accroître la détermination de la communauté internationale à mettre un terme aux activités interdites de la Corée du Nord», a déclaré le porte-parole du Pentagone, Gary Ross, après le sixième essai nucléaire effectué le 15 octobre par la Corée du Nord. «Nous restons préparés à nous défendre contre toute attaque ou provocation», a-t-il ajouté alors que le leader nord coréen, Kim-Jong-un, a exprimé sa «grande satisfaction», insistant sur la poursuite du développement du programme nucléaire du pays.
Le ministère des Affaires étrangères nord-coréen a ajouté que les Etats-Unis paieraient «un lourd tribut» pour leur attitude hostile. En effet, la diplomatie nord coréenne a rappelé que Washington avaient précédemment envoyé plusieurs bombardiers stratégiques dans leur base aérienne et que le transfert d'avions sur l'île Guam prouve que les «Etats-Unis préparent une frappe nucléaire préventive contre la Corée du Nord».
Les discussions que le Conseil de sécurité de l'ONU tient actuellement pour infliger de nouvelles sanctions à Pyongyang après essai nucléaire du mois de septembre n'ont eu aucune influence sur la détermination de Pyongyang.
De son côté, la Russie a estimé que le non-respect par la Corée du Nord des résolutions de l'ONU était «inacceptable» et que les initiatives de Pyongyang dans le nucléaire «bloquaient» de facto la reprise des pourparlers.
Par ailleurs, la Corée du Nord est soumise à plusieurs séries de sanctions internationales, encore renforcées en mars dernier, depuis son premier essai nucléaire en 2006.


Source: rt.com

Le président yéménite accepte une trêve de 72 heures

Le président yéménite Abd Rabbo Mansour Hadi, dont le pays est ravagé par une guerre avec des rebelles chiites – les Houthis –, a accepté une trêve de 72 heures, pouvant être prolongée, a déclaré le 17 octobre son ministre des Affaires étrangères.
«Le président a accepté un cessez-le-feu de 72 heures, pouvant être prolongé si l'autre partie s'y tient», si elle met en place un comité d'observation de la trêve et si elle met fin au siège sur la ville de Taëz (sud-ouest), a indiqué le chef de la diplomatie yéménite Abdelmalek al-Mekhlafi sur Twitter.
Les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et l'ONU avaient appelé le 16 octobre à Londres les belligérants au Yémen à décréter un cessez-le-feu au plus vite pour mettre fin à ce conflit qui a fait des milliers de victimes.
Le secrétaire d'Etat américain John Kerry avait souligné à Londres que lui, l'envoyé spécial de l'ONU pour le Yémen, Ismaïl Ould Cheikh Ahmed, et le chef de la diplomatie britannique, Boris Johnson, avaient appelé à ce qu'un cessez-le-feu entre en vigueur «aussi rapidement que possible, c'est-à-dire lundi [17 octobre] ou mardi [18 octobre]».
Le Yémen est ravagé par un terrible conflit depuis plusieurs mois. En mars 2015, l'Arabie saoudite avait pris la tête d'une coalition de pays arabes et entamé une campagne de raids aériens pour remettre au pouvoir le président en exil, le sunnite Abd-Rabbo Mansour Hadi, renversé en 2012 par les rebelles houthis. L'intervention a coûté la vie à au moins 10 000 personnes, dont près de 4 000 civils, selon des estimations des Nations unies.

source:rt.com

BARTHÉLEMY DIAZ CRACHE DU FEU

Arrêté et mis en prison sous Wade, Barthélémy Dias a été libéré à l’accession de Macky Sall au pouvoir. C’est sous ce même régime qu’il est sur le point d’être présenté à nouveau devant le juge pour la même affaire : l’attaque de la mairie de Mermoz-Sacré Cœur, qui a coûté la vie au lutteur Ndiaga Diouf. Retour sur une affaire judiciaire qui sent fort une arme de règlement de comptes politiques.
Le parquet de Dakar a exhumé l’affaire Ndiaga Diouf. Du nom de ce jeune lutteur tué le 22 décembre 2011 lors de l’attaque de la mairie de Mermoz-Sacré Cœur. Il a distribué des citations à comparaître à Barthélémy Dias, édile de la commune concernée, ainsi qu’à Habib Dieng et Boubacar Faye.
Le trio devrait être jugé jeudi prochain devant le tribunal correctionnel. Le premier est poursuivi pour coups mortels et les deux autres pour complicité de coups et blessures volontaires et détention illégale d’armes.
Malgré la gravité des faits et les risques qui pèsent sur sa tête, Dias se montre confiant. Il dit : « C’est la politique qui m’a mis en prison et c’est la politique qui m’a sorti de prison. Et, aujourd’hui, c’est pour des raisons politiques que certains considèrent qu’ils peuvent instrumentaliser la justice sénégalaise. Je vais répondre à la justice sénégalaise parce que je suis convaincu que si les magistrats disent le droit, je sortirai vainqueur de ce combat. »
Retour sur le lieu du crime
Une affaire politique ? Difficile de contredire le maire socialiste de Mermoz-Sacré Cœur.
Rétrospective d’une histoire qui a pris ses racines sous Abdoulaye Wade avant de se tasser et de repartir de plus belle sous Macky Sall.
Jeudi 22 décembre. Le Sénégal est témoin d’un spectacle qui renvoie aux années sombres de New York avec ses violentes guerres des gangs. Au milieu d’un groupe de jeunes armés de pierres, Barthélémy Dias, maire de Mermoz-Sacré Cœur fait face à un des gros bras surgis de véhicules postés aux alentours des locaux de sa municipalité. Un pistolet dans chaque main, il tirait en direction des assaillants. Dans une vidéo qui a fait le tour du monde, un de ses partisans l’encourageait à se rapprocher de ses cibles et de vider ses chargeurs sur elles. Les tirs durèrent plusieurs minutes avant que les « visiteurs » ne remontent dans leurs véhicules pour se fondre dans la nature.
La police était témoin de la scène. Visiblement satisfait de sa réaction musclée, Barthélémy Dias reconnaît avoir dégainé et atteint deux ou trois « agresseurs ». Ndiaga Diouf, un jeune lutteur de la banlieue, qui a perdu la vie suite à ses blessures subies lors de l’attaque, faisait-il partie victimes du maire socialiste ? Mystère.
Barthélémy Dias, hors d’état de nuire… à Wade?
Mercredi 28 décembre. Après 72 heures de garde à vue, Barthélémy Dias est inculpé et placé sous mandat de dépôt. Il est poursuivi pour « homicide volontaire, détention d’arme sans autorisation administrative et coups et blessures volontaires ».
À l’époque, le pouvoir d’Abdoulaye Wade était au plus mal. Les tensions sociales couplées aux coups de boutoir de l’opposition, regroupée au sein de Benno bok yakaar, pourrissaient la vie aux libéraux. Les événements du 23 juin avaient fini de sonner le glas d’un régime aux abois. Barthélémy Dias, qui n’accordait aucun répit à son « grand-père » Wade, passait pour une cible à abattre.
Sa réaction face aux assaillants de sa mairie était du pain béni. Il est arrêté et mis en prison. Après un court séjour à Rebeuss, il est transféré à Tamba. S’ensuit une longue bataille politico-judiciaire sur fond de course pour la présidentielle de 2012.
Février 2012. Les avocats du maire socialiste saisissent la Cour de justice de la Cedeao, considérant que leur client est victime de détention arbitraire. Le 23 mars, l’organe de la Cedeao tranche. La demande de Dias est rejetée. Le Sénégal, dit-on dans l’arrêt, « n’a pas commis de violation des droits de l’homme à l’encontre de M. Dias ».
Macky Président, la revanche de Dias
Débouté, le jeune responsable socialiste peut se consoler de la victoire, deux jours après la publication de la décision de la Cedeao, de la victoire de Macky Sall au deuxième tour de la présidentielle. Le régime de Wade, qu’il combattait de toutes ses forces, est renversé.
Sur le terrain judiciaire l’affaire est toujours pendante. Le nouveau pouvoir s’agite dans les coulisses pour la libération de Barthélémy Dias. Le procureur de la République de l’époque, Ousmane Diagne, pose son véto. Il laisse le maire de Mermoz-Sacré Cœur croupir en prison en refusant de lui décerner un non-lieu.
Ousmane Diagne dont les relations avec le ministre de la Justice étaient tendues à ce moment-là, sera remplacé par Serigne Bassirou Guèye. Mais ce n’est que le 22 mai 2012 que Dias sort de prison. Il bénéficie d’une liberté provisoire. Il reste sous contrôle judiciaire.
Le Ps est à moitié satisfait de la libération de l’une de ses principales figures. « C’est une bonne nouvelle pour le Parti socialiste, mais le combat n’est pas terminé. Nous allons continuer la lutte jusqu’à obtenir un non-lieu total parce que nous n’avons jamais perdu de vue que Barthélémy est innocent », a déclaré le porte-parole des Verts, Abdoulaye Wilane.
Même si l’affaire était encore pendante et malgré les protestations de la nouvelle opposition et de la famille de Ndiaga Diouf, le nouveau régime investit Dias sur la liste de Benno bok yakaar pour les législatives. Il obtient son siège à l’Assemblée nationale et peut, désormais, brandir son immunité parlementaire pour échapper à toutes poursuites dans le cadre de l’affaire de l’attaque de sa mairie.
Le tournant des Locales de 2014
Ça ne sera pas nécessaire. Entre partisans de la majorité, c’est l’entente parfaite. Le jeune responsable socialiste peut dormir tranquille, la justice semble avoir rangé son dossier.
Mais l’approche des législatives de 2014 va tout changer. Khalifa Sall est à la tête de la coalition Taxawu Ndakaru pour la reconquête de la mairie de la capitale. Barthélémy Dias est dans ses rangs. En face d’eux, Mimi Touré, à l’époque Premier ministre, tête de liste de Benno bok yakaar.
Taxawu Ndakaru rafle la mise. La pilule est amère pour le régime de Macky Sall. Les premiers nuages s’amoncellent au-dessus des rapports entre Dias et l’Apr. Les échanges de piques se multiplient. Comme par hasard, de rumeurs font état de la décision du doyen des juges de remettre sur la table l’affaire Ndiaga Diouf. On était au mois d’octobre 2014, les plaies des dernières locales, trois mois plus tôt, ne sont pas encore cicatrisées du côté de la majorité présidentielle.
Barthélémy Dias prend les devants. Il promet de saisir le président de l’Assemblée nationale pour demander la levée de son immunité parlementaire. Dans la foulée, il martèle avoir agi en légitime défense.
Auparavant, Sémou Diouf et Baye Moussé Bâ dit Bro, désignés comme deux des exécutants de l’attaque de la mairie de Mermoz-Sacré Cœur, obtiennent un non-lieu. Dias a fustigé cette décision.
Le doyen des juges n’ira pas plus loin. Faisait-il du bluff, histoire de calmer les ardeurs d’un des membres de la majorité qui ne cessait de critiquer la gouvernance de Macky Sall ? Y aurait-il eu des tractations en coulisses pour retenir sa main ?
Le Parquet remet le couvert
Dans tous les cas, le député socialiste ne sera plus inquiété. Jusqu’à ce mois d’octobre 2016, près de 5 ans après les faits. Dans un entretien paru dans le journal Libération, le député Benno Seydina Fall « Boughazelli » réclame que Barthélémy Dias soit jugé. Il pousse le bouchon jusqu’à menacer d’une plainte le ministre de la Justice, Sidiki Kaba, si son collègue n’est pas présenté devant un tribunal.
Simple coïncidence ou relation de cause à effet, le parquet vient de décerner  des mandats à comparaître à Barthélémy Dias ainsi qu’à ses supposés complices. Ils sont convoqués jeudi prochain devant le tribunal correctionnel. Dias est poursuivi pour coups mortels tandis qu’Habib Dieng et Boubacar Faye devront répondre des chefs de complicité de coups et blessures volontaires et détention illégale d’armes.
Pour le maire de Mermoz-Sacré Cœur il ne fait aucun doute, sa convocation relève du règlement de comptes politique. « Aujourd’hui, c’est pour des raisons politiques que certains considèrent qu’ils peuvent instrumentaliser la justice sénégalaise »
En tout cas, l’action enclenchée par le Parquet se déroule dans un contexte où les relations entre Barthélémy Dias, d’un côté, et la coalition Benno bok yakaar et la direction du Ps, de l’autre, sont tendues. Le maire de Mermoz-Sacré Cœur multiplie les saillies contre la majorité présidentielle et le régime de Macky Sall. Aussi, il ne manque pas une occasion d’égratigner les principaux responsables socialistes, revendiquant ostensiblement sa proximité avec le maire de Dakar, Khalifa Sall.
D’ailleurs c’est dans cet esprit qu’il a battu campagne pour la victoire de la liste de ce dernier pour l’élection des Hauts conseillers des collectivités territoriales, le 4 septembre dernier avant de démissionner du bureau de l’Assemblée nationale et de prendre part hier, vendredi 14 octobre, à la marche de l’opposition contre le pouvoir de Macky Sall.
Auteur: Seneweb-news

vendredi 14 octobre 2016

Urgent: Le Senegal a feu et a Sang

Sous la dictature et la restriction des droits et libertes des citoyens l'ultime arme demeure le faire face. Ceci aussi conduit au bain de sang .Serigne Bassirou Mbacké Secrétaire Général UJTL de Guédiawaye et des manifestants grièvement blessés à la tête (IMAGES)

Malick Gacko trop remonte contre Macky


C'est un Malick Gakou hors de lui qui s'est prononcé sur la marche avortée de l'opposition. Le patron du Grand Parti s'est dit dépité par la dictature que Macky Sall est en train d'imposer aux sénégalais en usant de la force pour empêcher les citoyens de s'exprimer.  
Selon le coordinateur du Front Wattu Sénégal, n'en déplaise à Macky et à ses forces de l'ordre, l'opposition marchera un jour ou l'autre. Apparemment, pour leur "baptême" de feu, les leaders comme Malick Gakou, Sonko et Abdoul Mbaye n'ont pas pu braver les gaz lacrymogènes de la police... Faute d'avoir pu franchir les barrières de la police, les manifestants se sont repliés sur la place de l'Obélisque.

source : Dakaractu.com

mercredi 17 août 2016

Haut Conseil de Recasement

Macky Macky ....
Pourquoi tiens tu coûte que coûte a caser tes aides de camp ou plutot les gens de ton maquis.
Le SENEGAL  n'est pas un gateau a partage.La satisfaction et la reconnaissance de la part des gens de ta parti ne devrait point te mener a vouloir créer des postes coûteux et inutiles pou notre cher SENEGAL. Les politiques dans leur choix ne sont point objectifs sinon a de rares exception aucunes quand il s'agit de nominer a des postes .
Mon pays va mal car nos politichiens font toujours le parti avant la patrie. Ils utilisent nos institutions comme sites de re-casement de leur sympathisant et militant.Il est temps que cela cesse et que nos politichiens aillent une posture plus patriotique. Qu'enfin les hommes qu'il faut soit mis a la place qu'il faut.
Macky arrête de maquiller tes institutions et nominations partisane sur la base de raison d'ETAT alors que les priorités sont ailleurs.
L'education peine a s' stabiliser .Depuis plus de cinq ans le secteur est mine par des réclamations e manifestations intestines . les syndicats voient leur revendication range dans les tiroirs .Le gouvernement de rupture et la sobriété s'est metamorphose en gouvernement de Xoumbaay et de Mboumbaay.
Macky a trahi le peuple .