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jeudi 20 octobre 2016

Pétrole, gaz, répression des opposants,… : LE SENEGAL S’EXPLIQUE DEVANT L’UE

Dans le cadre du dialogue avec l’Union européenne, le gouvernement a rencontré hier sa délégation accréditée à Dakar. Le pétrole, le fichier électoral et la situation des prisons étaient au cœur des débats, qui passionnent le monde politique et la société civile.
Le gouvernement sénégalais a réuni hier, lors d’un déjeuner de travail, les diplomates de l’Union européenne afin de les rassurer sur les dossiers qui agitent le landerneau politico-médiatique : il s’agit de la polémique sur le pétrole, le gaz, le fichier électoral dont la fiabilité est contestée par l’opposition, les mauvaises con­ditions carcérales… Bien évi­dem­­ment, le climat politico-social est délétère,  comme l’atteste la dernière marche de l’opposition, qui promet de sillonner les ambassades occidentales pour dénoncer les «dérives» du régime en place. Ainsi, les ministres Mankeur Ndiaye (Affaires étrangères), Me Sidiki Kaba (Justice), Abdoulaye Daouda Diallo (Intérieur), Thierno Alas­sane Sall (Énergie) et Birima Mangara (Budget) ont dressé aux diplomates de l’Ue la situation socio-économique du pays.
Sur la situation énergétique, le ministre Thierno Alassane Sall a livré toutes les informations aux diplomates sur les contrats pétroliers. Cette démarche rencontre l’adhésion de l’Ue. «C’est un débat social important que les autorités mènent déjà. Le pétrole et le gaz sont des ressources importantes qui nécessitent la mobilisation de tous les Sénégalais dans l’intérêt de tous», déclare Joaquim Gonzalez Ducay, chef de la délégation de l’Ue au Sénégal, qui salue la démocratie sénégalaise. «L’U­nion européenne est en phase avec le gouvernement sur cette question», se félicite Mankeur Ndiaye.
À son tour, Abdoulaye Daouda Diallo a exposé la situation du fichier électoral avec la confection des cartes d’identité. Le ministre de l’Intérieur a également juré la main sur le cœur que le calendrier républicain sera respecté avec la tenue des élections législatives en 2017 tandis que, assure-il, les Locales et la Présidentielle sont calées en 2019. Pour sa part, Me Sidiki Kaba a sollicité l’aide de l’Ue à l’endroit du Sénégal pour la fin des longues détentions préventives en milieu carcéral.
Reconnaissant devant la Délégation européenne que les prisons sénégalaises souffrent de surpeuplement, le Garde des Seaux a indiqué que le gouvernement entend construire d’autres maisons de détention. Initiateur de la rencontre, Mankeur Ndiaye s’est réjoui des succès de la diplomatie sénégalaise matérialisée, selon lui, par la présidence du Conseil de sécurité de l’Onu que doit occuper le Sénégal au mois de novembre. Pour rappel, le Sénégal siège dans cette prestigieuse instance de l’Onu en qualité de membre non-permanent pour la période 2016-2017.
bgdiop@lequotidien.sn

Macky case Tanor

Les elections de  2012 ayant connu son epilogue par la naissance d'une coalition: Benno Bokk Yaakar. Une coalition a forme arc en ciel regroupant la plupart des parties de l'opposition qui s'etait érige en bouclier contre la reelection de Wade. Cette coalition a consacre l'election de Macky Sall a la tete du pays. Mais ce dernier se croit leur etre redevable et tant bien que mal a vouloir caser tous ces partisans quite meme a créer d'autre institution. La dernière en date du referendum ayant consacre la HCCT (Haute conseil des collectivités territoriales.) ou Ousmane Tanor Dieng se voit caser. Une institution coûteuse dont son importance reste a prouver . 

Mort il y a cinq ans, Kadhafi hante encore la politique française


Cinq ans après le décès du chef d'Etat, la Libye est en proie au chaos, le poids de l'intervention de l'OTAN pèse sur la politique française et Nicolas Sarkozy est toujours embarrassé par les accusations de financement libyen de sa campagne de 2007.
Le 20 octobre 2011, sept mois après le déclenchement de l'opération militaire de l'OTAN en Libye en soutien aux insurgés, Mouammar Kadhafi trouve la mort.
Ce jour-là, alors qu'il quittait la ville de la Syrte, ultime bastion des forces loyalistes, le convoi du chef d'Etat est contraint de modifier son itinéraire afin d'éviter des tirs d'avions de l'OTAN. Le véhicule du dirigeant libyen tombe alors dans une embuscade des rebelles, qui capturent ce dernier vivant. Le lendemain, toutefois, son décès est annoncé par un haut responsable militaire du Conseil national de transition (le CNT, coalition rebelle).
Dans un rapport publié en 2012, se basant sur des vidéos témoignant de l'évènement, l'ONG Human Right Watch est revenu sur les conditions de la mort du chef de la «Grande Jamahiriya arabe libyenne populaire et socialiste», à la suite du guet-apens : «Les vidéos montrent que Mouammar Kadhafi a été capturé vivant mais qu’il saignait profusément d’une blessure à la tête qui aurait été provoquée par les éclats d’une grenade lancée par l’un de ses propres gardes et aurait explosé au beau milieu d’eux.»
Attention ces images peuvent choquer


En France, la mort de Mouammar Kadhafi pèse également toujours sur la vie politique : d'une part, les conséquences désastreuses de l'intervention de l'OTAN, conduite notamment par Paris, sont régulièrement rappelées aux candidats de la primaire à la droite Nicolas Sarkozy (qui était alors chef d'Etat) et Alain Juppé (qui était son ministre des Affaires étrangères).
D'autre part, l'ex-président de la République continue de faire l'objet de soupçons concernant le financement par l'ancien dirigeant libyen de sa campagne électorale de 2007. Pour certains de ses détracteurs, sa volonté de renverser Mouammar Kadhafi aurait notamment eu pour finalité de faire taire ce dernier, qui avait menacé, avant sa mort, de révéler des preuves d'un tel soutien financier.

mercredi 19 octobre 2016

Khadafi: L'Afrique te regrette

Muhamar Kadhafi 20-10-2011 il y'a 5 ans le guide libyen nous quittait. lâchement abattu par les envoyés de l'ordre mondial qui lui devait plus de 500 milliards de dollars
le Guide libyen ne cachait pas son penchant panafricaniste. Question trop sensible dans un contexte de mondialisation où le diviser pour régner n’a jamais été aussi présente dans les stratégies de ceux qui veulent s’approprier les ressources d’un continent dont les dirigeants sont peu portés à défendre les intérêts de leurs peuples.
C'est dans une très large mesure que se justifie les raisons pour lesquelles ces marionnettes ainsi que leur lâches de marionnettistes ont concoctés ta mort.Ils t'ont tué avec la complicité des tiens.
Si Sarko a si facilement accepté de servir de société écran à l’impérialisme américain dans cette guerre, si l’armée française a servi d’armée supplétive des Américains, c’est parce qu’en 2011 devait sortir une monnaie unique africaine. Et c’en aurait été fini du Franc CFA fabriqué à Chamalières.
C’est par le Franc CFA que l’impérialisme français tient encore ses colonies d’Afrique de l’ouest. C’est Kadhafi qui allait financer la majeure partie de la monnaie africaine indépendante. Et l’argent de la Libye coincé dictatorialement dans les banques occidentales depuis le début de la guerre devait notamment servir à ça !
Kama n'arrêtera jamais de te pleurer 😢

Hommage A Mouammar Khadafi Guide Spirituel Lybienne : kHADAFI STILL ALIVE


Résultats de recherche d'images pour « mouammar kadhafi »
En ce jour ils avait tue un homme
En ce jour un hero a été assassine
Ils ont complote et anéantis son pouvoir
Ils ont complotes et ruiner le pays
Se couvert de la démocratie ils nous mener le pays au chaos

Ta mort a Laisse le pays sans guide
Ta mort a laisse ta population orpheline
Toi qui a su jouer le role d'un guide et leader
Avec toi ta population était a l'abris du besoin

De fils de prince ils vivent desormais dans l'impasse
Ta mort a mener le pays dans des guerres tribales
Des conflits intestines mines tout ton pays
Et c'est sur que la paix en libye n'est pas pour demain

Ce jour-là : le 20 octobre 2011, Mouammar Kadhafi est tué aux abords de Syrte


Acculé, Mouammar Kadhafi a fui Tripoli à la fin d'août 2011. Devant l'avancée des forces rebelles libyennes, un dernier bastion résiste : Syrte, la ville natale du "Guide". Mais au matin du 20 octobre, un mystérieux convoi s'élance vers le sud...

Dans des conditions de vie précaires, le « Guide » et ses soutiens passent de maison en maison pour échapper aux bombardements et tirs de mortiers des rebelles. Tandis que la pression s’accentue, ils se décident à jouer leur va-tout. Et, à l’aube de ce 20 octobre 2011, ils tentent de quitter la ville.Depuis l’amorce de la révolution libyenne, le 15 février 2011, dans le sillage des Printemps arabes, la Libye est ravagée par la guerre civile. Alors que la capitale, Tripoli, est définitivement tombée le 27 août aux mains des milices rebelles, les combats font désormais rage aux abords de Syrte, où les derniers soldats loyalistes font face à la suprématie aérienne des avions de l’OTAN. Ceux-ci ont fini par se retrancher dans un quartier qu’ils tiennent à bout de bras : le District 2.
C’est le quatrième fils du « Guide », Mouatassim Kadhafi, qui est en charge de l’opération d’exfiltration. Un convoi impressionnant d’environ 50 véhicules chargés d’essence, d’armes et d’argent prend alors la route du Sud vers une destination inconnue, probablement le Niger.
Les yeux du ciel 
Les 4X4 roulent à vive allure. Ils transportent près de 250 personnes dont bon nombre ne se doutent sans doute pas de la présence de Kadhafi parmi eux. Mais la longue file de bolides n’échappe pas aux « yeux du ciel ». Après qu’un drone américain a repéré les véhicules et tiré un premier missile, un avion de chasse français de l’OTAN tire deux missiles vers la colonne motorisée. Une vingtaine de véhicules sont instantanément réduits en poussière.
Les raisons du bombardement restent obscures, puisque l’OTAN affirmera ne pas avoir suspecté la probable présence du « Guide » à la fin du convoi. Ce dernier et ses plus proches collaborateurs sortent d’ailleurs indemnes des multiples explosions. Mais ils n’échapperont pas à la véritable chasse à l’homme qui va s’ensuivre. Escorté et accompagné par ses derniers fidèles (notamment son fils Mouatassim, Abu Bakr Younès, son ministre de la Défense, et Mansour Dhao, le chef de sa sécurité personnelle), Kadhafi s’enfuit vers des villas abandonnées qui jouxtent la route.
Pistolets plaqué or aux poings, vêtu d’un gilet pare-balles et d’un casque, le « Guide » semble prêt à vendre chèrement sa peau
Pistolets plaqué or aux poings, vêtu d’un gilet pare-balles et d’un casque, le « Guide » semble prêt à vendre chèrement sa peau. Lui et ses sbires sont retranchés dans une habitation vide, mais ils viennent d’être repérés par des troupes rebelles. Les premiers salves de mortiers s’abattent déjà sur leur cachette quand Mouattassim Kadhafi crie à son père : « Je vais te sortir de là », avant de se lancer dehors avec une escouade d’une dizaine hommes pour tenter de trouver une issue. Ce seront les dernières paroles qu’ils échangeront.
Au bout du tunnel
Le dernier acte approche. Quelques minutes après le départ de son fils, Kadhafi et ses derniers fidèles courent en direction de tubes en béton servant à drainer l’eau sous une route. Alors que le « Guide » s’enfonce inexorablement dans une bouche d’évacuation, les miliciens de Misrata font leur apparition. Dans un dernier geste de défense, l’un de ses gardes du corps jette des grenades en direction des rebelles. L’une rebondit contre la paroi et blessera le « Guide » à la tempe.
La mort de Kadhafi, qui intervient quelques instants plus tard, reste entourée de mystère, tant de nombreuses versions sont avancées. Quelques vidéos prises sur le vif au moyen de téléphones portables montrent un homme encore en vie mais hagard et violemment pris à parti par une nuée de miliciens qui crient « Misrata ! », pour signifier le martyr qu’a infligé Kadhafi à cette ville, bastion de la révolution libyenne. Aucun supplice ne sera épargné à l’homme qui gouverna la Libye d’une main de fer pendant 42 ans : crachats, arrachage de cheveux, coups et bien pire encore…

Macky Sall entame sa tournée nationale

Dans le cadre d'une tournée qui le mènera dans différente localité du pays,Le president de la république pourra t-il a travers cet acte pose reconquérir le cœur de ces concitoyens dont l'espoir est entrain de se convertir en désespoir.
Apres un referendum conteste, la crise scolaire et maintenant le cas de Petrotim dont la population réclame toujours des réponses sur les retours de profit ainsi que l'implication de son frère dans le deal du siècle.